Interstellar.. "N’entre pas docilement dans cette douce nuit, Le vieil âge doit gronder, tempêter, au déclin du jour, Hurler, hurler à l’agonie de

les forumsForum Blabla 18-25 ans Etoile Abonnement RSS Réglages Mise en forme JVCode Afficher les avatars Afficher les signatures Afficher les spoilers Miniatures Noelshack Sujet N'entre pas docilement dans cette douce nuit... RépondreNouveau sujetListe des sujets 1 DrOrt-Meyer MP 05 juin 2015 à 204004 passage Le vaisseau qui s'éloigne de la terre avec la citation du docteur Brandt en fond 1 Nouveau sujetListe des sujets Répondre Prévisu ? Victime de harcèlement en ligne comment réagir ? Sous-forums Religion Infos 0 connectés Gestion du forum Modérateurs Suumas, Love-n-peace, odoki, LikeGod, [FIREWORK] Contacter les modérateurs - Règles du forum Sujets à ne pas manquer Aucun sujet à ne pas manquer La vidéo du moment
N’entre pas docilement dans cette douce nuit, Le vieil âge doit gronder, tempêter, au déclin du jour, Hurler, hurler à l’agonie de la lumière, Si le sage sentant la fin sait que les ténèbres sont justes, Car ses mots n’ont point forgé de foudre, Il n’entre pas docilement dans cette douce nuit, Hurle, hurle à l’agonie la

Tout accepterCookies d’aide Chatbot CrispCes cookies sont utilisés pour nous permettre de mieux vous aider lorsque vous utilisez notre analytiques Google analytics et Tag managerCes cookies sont utilisés pour mesurer l’audience et le bon fonctionnement de notre publicitaires FacebookCes cookies sont utilisés pour nous permettre de mieux cibler nos publications sur les réseaux publicitaires TikTokCes cookies sont utilisés pour nous permettre de mieux cibler nos publications sur les réseaux sociaux.

Nentre pas docilement dans cette douce nuit, Le vieil âge doit gronder, tempêter, au déclin du jour, Hurler, hurler à l’agonie de la lumière, Si le sage sentant la fin sait que les ténèbres sont justes, Car ses mots n’ont point forgé de foudre, Il n’entre pas docilement dans cette douce nuit, Hurle, hurle à l’agonie de la lumière. Interstellar Olivier_98, 11 Septembre Le film de Christopher Nolan, "Interstellar", l'a popularisé. La Colline vous propose de lire dans son intégralité ce poème du Gallois Dylan Thomas N’entre pas docilement dans cette douce nuit,Le vieil âge devrait brûler et s’emporter à la chute du jour ; Rager, s’enrager contre la mort de la lumière. Bien que les hommes sages à leur fin sachent que l’obscur est mérité, Parce que leurs paroles n’ont fourché nul éclair ils N’entrent pas docilement dans cette douce nuit. Les hommes bons, passée la dernière vague, criant combien clairs Leurs actes frêles auraient pu danser en un verre baie Ragent, s’enragent contre la mort de la lumière. Les hommes violents qui prient et chantèrent le soleil en plein vol, Et apprenant, trop tard, qu’ils l’ont affligé dans sa course, N’entrent pas docilement dans cette douce nuit. Les hommes graves, près de mourir, qui voient de vue aveuglante Que leurs yeux aveugles pourraient briller comme météores et s’égayer, Ragent, s’enragent contre la mort de la lumière. Et toi, mon père, ici sur la triste élévation Maudis-moi, bénis-moi à présent avec tes larmes violentes, je t’en prie. N’entre pas docilement dans cette douce nuit. Rage, enrage contre la mort de la lumière.
Avançanten exploitant les défauts de la formation, il ne fallut pas longtemps à Zhang Xuan pour arriver devant l’entrée du Compendium, qui était gardée par deux Maîtres en Poison de rang Saint 1ère Dan. Il calcula le moment opportun pour se faufiler entre les deux et passa par les interstices de la porte.
Le Deal du moment Cartes Pokémon sortie d’un nouveau ... Voir le deal . Domaine de la Rose Noire . ACCUEIL ARCHIVES RP AuteurMessageDavid Moss [ABS&HS U_AdminNombre de messages 913Cheval Attribué Asha LeïlaMétier JugeGalops Date d'inscription 12/05/2008Feuille de personnageÂge / Année 19 ansCheval Asha LeïlaConnaissances Sujet Un tour au lac // Kyria Ven 11 Juil - 1148 Un tour au lacAvec Kyria Sheryan______________ Allez, mam’zelle, on va faire un tour ! »Au pas tranquille, David fit sortir sa grande jument pie de la carrière et la dirigea vers le chemin qui s’éloignait des écuries, contournait les bâtiments de l’académie et allait se perdre dans les terres du domaine, forêt et plaines. Tout en marchant, il flatta de la main la fine encolure sombre qui s’agitait au rythme de ses pas. Ils n’avaient pas travaillé longtemps mais une légère sueur était apparue sur les poils soyeux. Cette séance avait été, une fois de plus, une sorte de bras de fer entre la jument et son cavalier, bras de fer discret, certes –pas le moindre usage de force de la part du jeune homme, pas de cabrades et peu de ruades de celle de Leïla…-, mais réel. Leurs volontés s’opposaient farouchement et chacun tentait d’obtenir gain de cause. Et une fois de plus, c’état David qui avait emporté la partie en arrivant à se faire obéir de sa monture qui avait alors consenti à travailler l’épaule en n’était pas fatiguée même si on sentait qu’elle venait de fournir un effort conséquent, et son cavalier décida de leur changer les idées à tous les deux en allant faire un tour en forêt. Une petite balade au pas après le travail, rien de tel pour décompresser… Aussi le couple s’engagea-t-il sur le large sentier de terre qui s’enfonçait entre les arbres feuillus de la forêt du avait, comme toujours, envie d’accélérer mais pour une fois, elle ne tirait pas sauvagement sur son mors et ne s’énervait pas non plus en s’agitant dans tous les sens. En fait, nul n’aurait cru que cette grande jument à l’air si tranquille brûlait d’embarquer son cavalier qui lui avait laissé une certaine liberté en rallongeant nettement ses rênes. Cependant, David sentait nettement cette infime tension qui parcourait le corps de la jument et la faisait vibrer de tout son être, et il se méfiait même s’il savait que pour l’instant, elle ne tenterait rien. Une fois de plus, il caressa l’encolure de Leïla, apaisant. Tu as bien travaillé… Pas la peine de t’épuiser, va ! » Un moment s’était écoulé lorsqu’ils parvinrent en vue d’un croisement. Le jeune homme réfléchit un instant. Si ses souvenirs étaient exacts, tourner à droite le conduirait au lac… C’est donc ce qu’il fit, et Leïla profita de la légère descente qui suivait pour accélérer nettement son pas au point d’être à la limite du trot. Doooouuucemeent… » David ne tira pas sur les rênes, se contentant de sa voix et de son poids du corps pour ralentir la jument. Cela marcha dès qu’elle revint sur du plat, elle ralentit docilement et il la félicita. Décidément, il y avait du progrès… !Les minutes s’écoulèrent, sans incident notable. Cheval et cavalier se reposaient au rythme de ce pas rapide mais calme, et pour une fois la jument, détendue, ne sursautait pas au moindre bruit ou au moindre mouvement sur sa gauche. Hé bien… On dirait qu’une bonne séance de dressage te fait un bien fou, à toi ! » Effectivement, la jument était plus calme et plus docile maintenant, et il avait la nette impression que ce n’était pas dû à la fatigue –du moins, pas le sentier s’arrêta tout net, en même temps que les arbres devant eux se trouvait une vaste étendue dépourvue d’arbres mais recouverte d’herbe, qui descendait en pente douce jusqu’à la surface bleue et lisse du lac scintillant. Instinctivement, Leïla s’arrêta un instant face à l’eau, puis sans que son cavalier ait à le lui demander, elle reprit son chemin et s’approcha de la berge. Souplement, David mit pied à terre et il allongea ses rênes pour laisser la jument boire. Il la regarda plonger délicatement ses naseaux sombres dans l’eau claire et avaler à petites gorgées, puis elle se redressa et secoua la tête en projetant de toutes petites gouttes d’eau autour d’ jeune homme sourit, la regardant avec tendresse, puis il s’approcha de la sangle et, après une infime hésitation, dessella la jument. Il passa une main douce sur le dos de Leïla où la sueur avait imprimé sur les poils les motifs du tapis de selle. Bon, ben il te reste plus qu’à sécher ! » déclara David tout en posant soigneusement selle, amortisseur et tapis s’assit dans l’herbe, et la grande pie n’attendit pas plus longtemps pour pencher la tête et se mettre à brouter goulûment. Il la regarda un moment, puis, la somnolence le gagnant, s’allongea sur le dos. Les yeux face au ciel, il scrutait les petits nuages cotonneux qui flottaient sur l’étendue azur et se déplaçaient paresseusement, tandis que ses oreilles s’emplissaient du bruit que faisait Leïla en sectionnant les brins d’ étaient bien, là, tous les . . . . . . - InvitéInvitéSujet Re Un tour au lac // Kyria Ven 11 Juil - 1341 En faisant un tour dans les écuries, à la recherche du cheval qui lui avait été attribué, Kyria passa devant un bel hongre bai. Elle s’arrêta et regarda la plaque accrochée sur le mur à côté du boxe. Javelot d’Orvay, propriétaire Kyria Sheryan. Un fin sourire vint alors éclairer son visage et elle tendit sa main, paume vers le ciel, laissant le beau cheval la sentir. Elle en profita pour l’observer toute à son aise, laissant son regard glisser sur les lignes fines et racées du bel doigts vinrent doucement chatouiller sa liste qui se terminait sur un seul côté de son nez, ce qui eut pour effet de faire retrousser la lèvre supérieur de Javelot, ce qui amusa Kyria. Au ranch, il y avait un cheva qui avait ce tic aussi, qui ressemblait fortement au flehmen. Sa main remonta doucement le long de son chanfrein, s’arrêtant aux oreilles, guettant ses réactions. Peu de chevaux appréciaient qu’on leur fasse des caresses à cet endroit mais celui-ci ne semblait pas plus troublé que jeune gothique ouvrit alors la porte, faisant reculer de quelques pas le cheval. Elle referma la porte derrière elle, la laissant contre et fit le tour du hongre qui l’observai avec un vif intérêt. Kyria laissa sa main glisser sur son encolure, revenant sur ses flancs puis sur ses reins pour finir sur sa croupe, tandis qu’elle se postait derrière lui pour retourner de l’autre côté. Une fois revenue au niveau de sa tête, elle chuchota, doucement Tu es magnifique… »Car Kyria ne pouvait résister à aucun mieux faire connaissance et pour également pouvoir le cerner, la jeune cavalière lui passa un licol en cordes, le fit sortir du boxe pour l’attacher à l’anneau près de la porte, faisant un nœud lâche. Elle alla chercher son sac où ses brosses étaient bien mélangées et en vrac. Il fallait dire que le rangement et l’ordre n’étaient pas vraiment le fort de la demoiselle aux yeux bleus. Elle prit néanmoins son cure-pied après avoir entamé quelques fouilles et, se postant près de l’antérieur droit de Javelot, fit doucement descendre sa main sur le membre du cheval. L’effet fut immédiat et l’hongre lui donna son pied sans problème. Il n’était pas bien capricieux pour cela et il ne botta pas lorsque la jeune file s’occupa de ses postérieurs. Kyria lui passa ensuite l’étrille sur les parties plus charnues, puis le bouchon et enfin, la brosse douce, faisant attention de ne pas lui faire mal lorsqu’elle brossa sa tête. Elle démêla alors avec soin ses crins et, pour finir, lui passa sur le corps un gant en peau de mouton’. Javelot sembla intrigué mais la jeune gothique eut vite fait de le rassurer sur cet objet rangea alors ses affaires et prit un filet, le passant au cheval qui accepta le mors sans problèmes. Kyria sortit ensuite de l’écurie et, une fois dans la cour, grimpa sur l’hongre. Ils allaient faire une balade, à dirigeant vers la forêt, Kyria aperçu un panneau indiquant la direction à prendre si l’on voulait se rendre au lac. Elle suivit alors les indications. Il faisait beau et un peu d’eau ne leur ferait pas de mal. Une fois sur le sentir, la jeune fille regarda autour d’elle, attentive aux bruits de la forêt. Il ne manquerait plus que son fidèle destrier s’emballe et qu’elle tombe, bien que ce soit fort peu probable. Avec sa jument, elle avait l’habitude d’aller galoper, à cru, en guise de filet un simple licol et ce, dans la forêt bordant son domaine. Elle garda tout de même à l’esprit que c’était la première fois qu’elle montait ce cheval et qu’il valait mieux faire un peu plus avoir bien marché, la jeune fille mit Javelot au trot, prenant garde au chemin, mais ce dernier restait en bon état et, peu de temps après, elle mit l’hongre bai au galop, restant bien au contact pour ne pas qu’il s’emballe et l’embarque à l’autre bout de la Javelot redressa la tête, ralentissant l’allure. Kyria le fit repasser au trot puis au pas, lui flattant l’encolure pour le rassurer. Mais il n’avait pas tant peur que cela. Il venait de sentir une odeur étrangère, peut-être un autre cheval, qui sait ? Finalement, ils débouchèrent sur le lac, allant à la rencontre d’une jument et de son cavalier, couché par belle jument pie redressa à peine la tête, continuant de manger tandis que Kyria mettait pied à terre, tenant son cheval une rêne, restant à une distance convenable. Je ne vous dérange pas ? » Sa voix était neutre, pour une fois, pas trop froide, s’adressant au jeune homme. Elle ne tenait pas à les déranger lui et sa son regard vagabonder un instant sur les faibles remous de l’eau, la jeune étudiante remonta sur son cheval et le fit doucement s’approcher de l’eau. Javelot ne rechigna pas à entrer dans l’eau et Kyria l’arrêta lorsque l’eau fut au trois-quarts de la hauteur de ses jambes. Elle le laissa alors s’amuser un peu, jetant un coup d’œil au jeune homme. David Moss [ABS&HS U_AdminNombre de messages 913Cheval Attribué Asha LeïlaMétier JugeGalops Date d'inscription 12/05/2008Feuille de personnageÂge / Année 19 ansCheval Asha LeïlaConnaissances Sujet Re Un tour au lac // Kyria Sam 12 Juil - 1717 David rêvait les yeux ouverts, le regard perdu dans les nuages. Il observait d’un œil absent les dessins que formait la brume blanche dans le ciel couleur myosotis, tandis que la somnolence le gagnait de plus en plus. Il étendit ses jambes, et poussant un long soupir, ferma les yeux quelques secondes. Une pression sur les rênes qu’il tenait entre ses doigts desserrés le rarement sur terre et il ouvrit vivement les yeux en se redressant légèrement pour voir ce que faisait Leïla. Avec elle, il fallait toujours être sur ses gardes…Fausse alerte, elle essayait juste de s’éloigner un peu plus car, comme chacun sait, l’herbe est toujours meilleure à côté ! Il songea qu’en défaisant l’une des boucles qui attachaient les rênes aux anneaux du mors, cela ferait une sorte de longe et la jument pourrait s’éloigner davantage. Là, elle n’avait guère qu’un mètre de liberté. Mais, tandis que cette idée se formait dans son esprit, il se laissa retomber dans l’herbe tandis que ses membres s’engourdissaient déjà. Le jeune homme n’était pas tellement du genre feignant, mais là, la simple idée de se lever, de rappeler Leïla et de détacher les rênes le plongeait dans une incommensurable avait qu’il n’ait eu le temps de fermer à nouveau les yeux, la grande jument tira une nouvelle fois sur les rênes, bien plus fort cette fois. Il resserra sa prise sur les lanières de cuir tout en la regardant d’un œil vide s’exciter en fixant quelque chose, naseaux dilatés et yeux exorbités. Chuut… Laisse tomber, va… Quoi que ce soit, ça te bouffera pas… » marmonna David d’une voix pâteuse mais ronfla en fixant l’ôrée de la forêt, puis de détourna, hautaine et royale, pour s’absorber à nouveau, au soulagement du jeune homme, sur le festin d’herbe qui s’offrait à moment impossible à mesurer s’écoula. Quelques minutes, quelques secondes ? David crut entendre le bruit étouffé de sabots qui s’approchaient. Il tendit l’oreille, n’entendit plus rien mais au moment où sa vigilance retomber, les bruits se refirent entendre. Quelqu’un arrivait à cheval. Leïla l’avait sûrement remarqué, d’ailleurs peut-être était-ce l’approche de ce cavalier inconnu qui l’avait tant alarmée tout à l’heure, mais étrangement, elle se contenta de lever brièvement la tête vers les nouveaux arrivants avant de replonger le nez dans l’herbe verte et grasse de la berge. C’était une réaction plus qu’étonnante de la part de la nerveuse jument…Mais enfin, puisqu’elle ne s’était pas fait remarquer, on pouvait peut-être espérer que le cavalier anonyme passerait son chemin… Faux espoir. Une voix se fit entendre, féminine et dénuée d’émotion. Donc, le cavalier inconnu était une cavalière. Ça ne renseignait guère David, mais enfin c’était déjà un pas en avant. Est-ce qu’elle le dérangeait ? Humpf. Entre-temps, elle avait dû avancer avec son cheval car subitement Leïla perdit le calme olympien qu’elle affichait jusqu’alors et redressa brusquement la tête en arrachant les rênes aux doigts de David, et poussa un hennissement puissant au hongre. Même pour un humain peu habilité à décrypter les messages inter-équidés, le sens de ce hennissement était clair et limpide c’était une menace.*Toujours aussi sociable…*Il se redressa pour récupérer les rênes tombées à côté de lui, tout en répondant Moi ? Non ! » Il se leva souplement et s’approcha de la jument qui fit un écart pour s’éloigner de lui. Mais, comme il la tenait par les rênes, sa tentative de s’éloigner fut avortée et il l’attrapa par un montant du filet. Doucement, mademoiselle… murmura-t-il. Tu sais, je ne crois pas que ce beau bai ait envie de te manger ou de te taper dessus… » Mais si le hongre n’en avait pas l’intention, Leïla, elle, semblait brûler de l’envie de l’agresser. Elle piaffait, grattait le sol de son antérieur, agitait la tête et enchaînait les mimiques menaçantes, à commencer par ses oreilles couchées en arrière au milieu des longs crins de sa crinière. Calmement, David lui gratouilla le chanfrein tout en la tenant fermement de l’autre main. Par contre, elle, j’ai bien peur que oui ! » ajouta-t-il à l’intention de la se mit à parler à voix basse, d’un ton doux et apaisant, dans l’espoir dérisoire de calmer les ardeurs agressives de la grande pie. Il fit marcher cette dernière en l’éloignant de son congénère et en la plaçant dos à lui pour ne pas le placer en plein dans son champ de vision. Tout en s’occupant de sa jument, David gardait un œil sur la fille inconnue et son cheval qui s’était mis à jouer dans l’eau. Il avait l’habitude de se faire très rapidement une idée des gens qu’il croisait. Quelques secondes lui suffisaient pour étudier de son regard scrutateur la personne qui lui faisait face dans ses moindres détails et la juger selon son appréciation personnelle. En l’occurrence, l’inconnue ne lui faisait pas face mais cela ne l’empêcha pas de l’observer cheveux noirs, habillée à la gothique… Une élève, vraisemblablement. Il laissa passer quelques secondes durant lesquelles Leïla se résigna à se calmer un minimum, puis s’approcha légèrement de la fille. Mais bon, reprit-il, tant pis pour elle, c’est son problème ! » Il faudrait bien que la jument tolère la présence d'autres autour d'elle... _________________- . . . . . . - InvitéInvitéSujet Re Un tour au lac // Kyria Sam 12 Juil - 1742 Quant à sa question, le jeune homme encore allongé ne sembla pas s’en formaliser plus que cela et Kyria continua son chemin, entrant alors dans l’eau, laissant son cheval jouer un peu. Mais la belle jument pie qui accompagnait ce jeune homme n’était pas de cet avis et lança un hennissement strident, qui aurait fait peur à n’importe quel apprenti, mais pas à Kyria, bien trop habituée aux chevaux pour prendre peur à la première menace venue. Certes, cet hennissement n’était pas de bonne augure, mais à part redresser brièvement la tête, Javelot n’émit aucun signe de peur ou de distraction. Il préférait largement boire l’eau du lac et éclabousser sa cavalière plutôt que d’aller se battre avec la heureusement pour les deux compères, la cavalier de la jument plutôt nerveuse se releva et attrapa les rênes, pour éloigner un peu son cheval, assurant à la jeune gothique qu’elle ne le dérangeait pas. Tant mieux, de toute manière, maintenant qu’elle était là, elle ne voyait aucune raison de repartir si prématurément. De plus, il faisait beau, l’air était frais mais doux et il n’y avait que de très peu de vent. Des conditions idéales réunies pour se baigner. Quoi qu’un plongeon dans l’eau, toute habillée ne lui disait rien qui vaille. Si encore elle avait eut une serviette pour se sécher… Pourquoi pas ! Mais là, elle n’avait pas pensé à prendre de quoi se changer. La baignade n’était donc pas au programme de cette que l’inconnu éloignait sa jument, il essayait de la calmer par quelques mots doux, lui assurant que l’hongre ne la mangerait pas, puis, à l’attention de Kyria, fit remarquer que ce n’était pas trop le cas de sa jument vis-à-vis d’eux, ce qui fit légèrement sourire la jeune étudiante. Finalement, il sembla abandonner l’idée de calmer plus que ça son cheval et se rapprocha un peu d’eux, lançant que c’était le problème de sa jument si elle s’énervait encore. Il n’avait pas tort dans un sens, mais si elle venait à leur foncer dessus, ça deviendrait son problème à lui aussi…Mais préférant penser à autre chose qu’à la catastrophe qui pourrait survenir, Kyria fit faire demi-tour à son cheval pour faire face au jeune homme Comment s’appelle ta jument ? »Kyria pensait généralement aux chevaux avant de penser aux humains ou à elle-même. Mais rapidement, ses yeux se fixèrent dans ceux de son interlocuteur, intriguée. Elle-même qui avait des yeux d’un bleu soutenu et étrange, trouvait ceux du jeune homme fort beaux. Ils étaient d’un vert… éclatant ! Mais bien qu’elle n’en n’ait jamais vu de pareils, elle n’y prêta pas plus d’attention, le regardant tout de même dans les yeux, vieille habitude qu’elle avait acquise au fil du temps. Certains trouvaient cela déplorable et dérangeant mais elle, qu’on la fixe de cette manière franche et honnête ne la dérangeait pas du tout et se foutait d’ailleurs royalement de ce que les autres en après quelques minutes où Javelot observa la jument, la jeune cavalière les fit tous deux sortir de l’eau pour revenir sur la terre ferme et sèche, puis mit pied à terre. Elle vérifia rapidement ses jambes, pour voir s’il ne s’était pas blessé dans les bois puis, s’approcha du jeune homme et lui tendit la main, tout en se présentant Kyria, Kyria Sheryan. Et tu es… ? »S’en suivit un très fin sourire, rien de plus. On pouvait dire que Kyria n’avait vraiment pas l’air amical et aimable au premier abord, bien qu’une fois qu’on la connaissait plus, elle pouvait devenir une amie très fidèle. Le seul problème était que sa confiance était extrêmement difficile à gagner, tout comme sa jument, et qu’une fois qu’on la perdait, c’était quasi impossible de la retrouver. Quelques personnes lui avaient déjà fait remarquer qu’elle était comme un animal aux abois, toujours sur ses gardes, prête à prendre la fuite si on tentait de l’agresser. Et pourtant, aux agressions verbales qu’on lui faisait, elle répondait de la même manière, cherchant et souvent, trouvant le point sensible des gens et si ça en venait aux poings, elle n’hésitait pas à cogner, les années de boxe et d’arts-martiaux aidant bien en général, elle restait passive et ne rentrait que dans une forte colère que lorsqu’on la cherchait vraiment. D’ailleurs, elle n’aimait pas trop se servir de ses poings sur les autres personnes et sur les animaux aussi d’ailleurs, ce qui faisait que, bien souvent, elle était plus vite acceptée par les chevaux que par les humains car elle était très douce avec eux et essayait, au maximum, de se comporter comme eux, avec elle se dépêche de sortir de ses pensées, détaillant rapidement le jeune homme en lui lançant un simple coup d’œil, le regardant à nouveau dans les yeux, attendant une réponse… David Moss [ABS&HS U_AdminNombre de messages 913Cheval Attribué Asha LeïlaMétier JugeGalops Date d'inscription 12/05/2008Feuille de personnageÂge / Année 19 ansCheval Asha LeïlaConnaissances Sujet Re Un tour au lac // Kyria Mar 15 Juil - 1721 La jeune fille ne répondit pas tout de suite, occupée à faire sortir son cheval du lac où ce dernier s’était éclaboussé à cœur joie. Lorsqu’elle reprit la parole, ce fut pour poser une question, et contre toute attente il ne se présenta pas ni ne demanda à David de faire de même ; elle s’enquit simplement du nom de la grande pie. La demoiselle ? Asha Leïla ! » répondit-il avec un imperceptible sourire, tout en tapotant l’encolure de la jument qui secoua violemment la se retourna vers l’élève inconnue, et croisa son regard. Elle le fixait droit dans les yeux, avec peut-être comme une nuance de défi dans le regard. Fière, oui, sûrement. Forte, ou tentant d’en avoir l’air. Mais ça n’impressionnait pas le moins du monde le jeune homme, qui se contenta de soutenir son regard, sans se gêner pour la dévisager. Il faisait tout le temps ça, scruter les gens d’un œil expert, remarquer les moindres détails, passer au crible son interlocuteur avant de poursuivre la conversation. C’était affreusement gênant mais il ne se faisait pas discret pour autant ; bien au contraire, mettre les autres mal à l’aise faisait partie de ses loisirs ».Quelques instants passèrent, puis l’inconnue fit sortir son cheval de l’eau et descendit de son dos. Elle s’approcha de David, main tendue, comme si elle se souvenait seulement maintenant qu’elle ne s’était pas présentée. Ainsi donc, Kyria était son nom. Kyria… N’en avait-il pas connue une, autrefois ? Ce nom lui disait vaguement quelque chose. Ah, non, réflexion faite, c’était Kiara. Un sacré tempérament… Mais c’était loin, tout ça. Il chassa les bribes de souvenirs de son esprit et s’autorisa un petit sourire charismatique, tout en répondant sur le même ton David Moss. Pour te servir… » ajouta-t-il, son sourire s’agrandissant légèrement, avec une galanterie des plus fausses. Mais ça, pour le savoir, il fallait le connaître à fond, le côtoyer depuis des années…Elle, elle ne souriait pas, ou à peine. Son regard, bleu sombre, le surveillait, avec peut-être une lueur de… méfiance ? au fond des prunelles. Peut-être voulait-elle paraître digne et fière, lui la voyait comme une jeune fille distante, prudente, craintive même. Farouche. Oui, c’était le mot, farouche. Une fois de plus, il la regarda de haut en bas, rapidement. Jolie ? Pas à son goût. De jolis yeux, bon, mais en comparaison de… certaine personne, Kyria ne faisait pas le poids. Son regard s’attarda une fraction de seconde sur les lèvres de la jeune fille, figée en un sourire si léger et si froid qu’il fallait vraiment le chercher pour le voir. Il allait la dégeler… Essayer, tout au moins. Et lui ? poursuivit-il en désignant le cheval bai qui accompagnait Kyria. Comment s’appelle-t-il ? » Leïla choisit cette instant pour tenter d’arracher les rênes à son cavalier, qui la retint fermement mais se déboîta l’épaule au passage. Mais ça suffit ! » protesta-t-il en lançant un regard mécontent à la jument qui détourna la soupira et posa la main sur son encolure à la peau si fine et au poil si doux. Sous sa paume, il sentait le tremblement nerveux que provoquait la présence du hongre bai. Son contact se fit apaisant, comme s’il pouvait transmettre son calme olympien à la jument pie. Ses oreilles étaient toujours orientées vers l’arrière et le frémissement de ses naseaux en disait long sur son humeur, mais elle resta jeune homme observa à nouveau l’élève face à lui et s’autorisa un nouveau sourire lorsque leurs regards se croisèrent à nouveau. Pas trop enjôleur, non, il se doutait que Kyria n’apprécierait que très modérément de se faire draguer ouvertement dès les premiers instants. Juste assez charmant pour la dérider un peu. Même s’il n’y parviendrait pas forcément du premier coup, il était sûr de pouvoir obtenir un sourire de la jeune fille, un vrai de sentit Leïla baisser la tête et se tourna machinalement vers elle. Comme si subitement la présence d’un intrus » dans les parages ne lui importait plus, elle venait de replonger le nez dans l’herbe et s’en donnait à cœur joie. David voyait bien qu’elle n’avait pas relâché sa surveillance pour autant. De son unique œil, elle surveillait le cheval bai, méfiante. Mais, le tapis d’herbe verte, grasse, sucrée, qui s’étendait à ses pieds était trop tentant pour mépriser plus longtemps ce festin. Hé bien, en voilà une qui n’avait pas mangé depuis des jours… ! » s’amusa le jeune homme, prenant Kyria à témoin de la gloutonnerie de la grande jument . . . . . . - InvitéInvitéSujet Re Un tour au lac // Kyria Mar 15 Juil - 2128 Asha Leïla… C’était joli comme prénom, surtout pour un cheval me direz-vous^^ Mais à l’annonce de son prénom, la belle pie secoua la tête, rejetant plutôt violemment sa crinière vers l’arrière, ne laissant pas le jeune homme poser sa main sur son encolure. Et en plus de cela, c’est qu’elle était capricieuse et têtue ! Une faible lueur d’amusement s’alluma dans les yeux de la jeune étudiante, mais rien de plus ne se passa. Là où auraient souri et peut-être ri beaucoup de filles, Kyria faisait exception, n’exprimant son amusement que par ses yeux et encore, il fallait bien regarder !Lorsque Kyria fixa le regard du jeune homme, ce dernier fit de même, scrutant ses traits finement dessinés, la détaillant bien en profondeur, espérant sans doute la gêner. Mais il pouvait toujours courir pour mettre mal à l’aise une jeune fille de la trempe de Kyria, il en fallait beaucoup plus ! A la limite se jeter sur elle pour la déshabiller, enfin, ça ne risquait pas d’arriver car même si le jeune homme semblait un sacré charmeur avec son sourire aguicheur et ses beaux yeux verts, il restait fort correct envers la petite gothique. De toute manière, il n’avait pas intérêt à l’approcher…Après s’être présentée, le jeune homme qui portait le doux’ prénom de David se présenta à son tour, ajoutant même qu’il était là pour la servir, accrochant à ses lèvres, un petit sourire charismatique qui ne fit aucun effet à Kyria. Tout cela sonnait faux, bien trop faux… Oh, je ne dis pas que la plupart des filles ne seraient pas tombés sous son charme mais là ! La jeune cavalière avait l’habitude de regarder dans les yeux des gens, pour déceler ce qu’ils ressentaient vraiment et quand bien même ils arrivaient à cacher tout cela, il restait de petits tics parfois nerveux sur leurs traits qui démontraient bien qu’ils mentaient. Trop aimable…Really. Mais je sais me débrouiller… »Oulà, il fallait vraiment qu’elle fasse attention. Voilà qu’elle laissait transparaître une des langues qu’elle avait parlée le plus couramment après l’Irlandais l’anglais. Car dans son français presque sans fautes, ressortait encore un accent indéfinissable pour ceux qui ne connaissait par l’irlandais. Mais en plus de cet accent qu’on pouvait trouver charmant, un ton ironique ressortait bien plus fortement. Il ne fallait pas la chercher, lorsque David s’intéressa à Javelot, son regard s’illumina un peu et elle laissa transparaître un fin sourire plutôt gentil et un peu plus chaleureux. Si on voulait réussir à la dégivrer, il fallait savoir s’y prendre et les chevaux, c’est son domaine… Alors, tout en présentant son compagnon, la jeune gothique posa une main réconfortante sur le chanfrein du cheval. Il semblait un peu nerveux, ou peut-être agacé par la présence d’une personne masculine. Comme si sa voix lui faisait peur. Kyria enregistra mentalement cette information, se promettant d’y revenir plus tard et de régler le problème Javelot, Javelot d’Orvay… »Au même moment, la jument que tenait David voulu arracher les rênes à son cavalier. Mais le jeune homme ne céda pas, et son épaule fit un drôle de mouvement qui arracha une petite grimace à la jeune fille. Elle en avait connu des chevaux qui tiraient fort, et elle pouvait vous garantir que ça ne faisait pas que du bien ! Pour finir, grâce à un calme remarquable, le jeune homme finit par calmer un peu sa monture et cette dernière se remit à brouter goulûment l’herbe qui se trouvait non loin de après, un sourire enjôleur venait étirer ses lèvres, alors que leurs regards se croisaient à nouveau. Kyria n’en fit rien, se fichant éperdument de ses veines tentatives pour réchauffer un peu l’ David prit à témoin la cavalière devant lui, tandis que Lila se gavait littéralement d’herbe, alors que Javelot se tenait plus ou oins calme, à l’observer et à regarder aussi David, d’un œil méfiant. Il ne semblait vraiment pas à l’aise en sa compagnie, ce qui intrigua Kyria au plus haut point. Elle se décida finalement à demander au jeune homme Connais-tu un peu le passé de Javelot ? Au fait, fais attention à ta jument, elle risquerait d’avoir des coliques si elle se gave trop… »Ni plus, ni moins… David Moss [ABS&HS U_AdminNombre de messages 913Cheval Attribué Asha LeïlaMétier JugeGalops Date d'inscription 12/05/2008Feuille de personnageÂge / Année 19 ansCheval Asha LeïlaConnaissances Sujet Re Un tour au lac // Kyria Ven 18 Juil - 1940 Kyria prévint David du risque de colique que courait Leïla, ce qui l’agaça légèrement mais il n’en laissa rien paraître. Ça aussi, c’est son problème ! » jeta un coup d’œil à la grande jument, toujours plongée dans son festin, puis ses yeux rencontrèrent une fois de plus ceux de la jeune fille et il retrouva son sérieux. Nan, sérieusement, t’inquiète pas pour ça. Et puis, faut dire qu’elle l’a bien mérité, ce repas ! » Tout en parlant, il passa la main sur le dos de Leïla, encore marqué par la sueur. Décidément, par cette chaleur, il ne faisait pas bon travailler… À moins qu’il ne se mette à monter de nuit ? Le manège était éclairé, du moins s’il se souvenait bien. Mais ça serait moins drôle. Le soir alors ? Ou tôt, de bon ces considérations sans grande importance, le jeune homme changea le cours de ses réflexions en s’intéressant à nouveau à Kyria. Ah, oui, elle lui avait demandé s’il connaissait l’histoire de Javelot, son cheval. Il s’apprêtait à répondre par la négative, quand un regard sur le bai le retint. Cette liste déviée à la forme si atypique… Oui, il l’avait déjà vue. Ah ! Ça lui revenait maintenant. Il était là lors de l’arrivée du hongre, et avait discuté avec le type qui l’avait emmené. Il paraît qu’il n’a pas été bien heureux avec son précédent proprio… Il a été battu, je crois. Comme elle, d’ailleurs ! » ajouta-t-il en désignant Asha Leïla du il connaissait bien mieux le passé de sa jument que celui du cheval bai. Cependant, il fouilla dans sa mémoire. Parmi les palefreniers, il y avait beaucoup de discussions… Après quelques secondes, il reprit Il a été recueilli par je-sais-pas-qui, une assoce peut-être, qui l’a remis en forme et il a atterri ici. Il s’en est bien tiré, mais il donne du fil à retordre aux palefreniers quelques fois… Enfin, je ne sais rien de plus. Mais si ça t’intéresse tellement, tu peux toujours aller voir à la direction, ils ont les dossiers des chevaux et leur parcours avant la Rose Noire… » C’était ainsi que lui-même avait reconstitué toute l’histoire d’Asha Leïla, ou plutôt ce qui était officiel et connu. Entraînée pendant sa prime jeunesse pour la compétition, elle n’avait pas supporté l’instabilité de ce milieu, les voyages incessants, les changements de cavalier… Un particulier l’avait rachetée, pour une petite fortune, mais ce type-là avait vu ses ambitions de concours olympiques brisées par le caractère trop bien trempé de la jument. Il n’avait rien trouvé de mieux que de lui taper dessus ou de l’affamer pour en tirer quelque chose… Et c’est vraisemblablement ainsi que ce conn… hum, crétin, l’avait rendue borgne. Heureusement qu’elle avait été sauvée peu après… Bien des aspects de sa vie restaient dans l’ombre, mais au moins, David en connaissait l’essentiel et ça lui suffisait. Maintenant, il ne lui restait plus qu’à dessiner un meilleur futur à sa jument…Machinalement, il fit tourner son épaule gauche, celle qui avait encaissé la tentative de dérobade de la grande pie. Pfiou, c’est qu’elle avait de la force, celle-là… C’était pas gagné, avec elle. Tant mieux, du reste. On n’a rien sans rien, avec les chevaux tout particulièrement. Et quand tout vous tombe tout cuit dans la bouche, ça enlève la plus grande partie du charme de l’ jeune homme se rassit dans l’herbe, et replia ses genoux contre lui, et regarda d’un œil affectueux la jument qui se délectait. Un papillon vint voleter tout près de son œil gauche, mais elle ne vit rien. David observa la petite bête aux ailes d’un blanc éclatant, l’esprit ailleurs. Ensuite, les choses allèrent très vite. L’insecte avait-il touché la tête de la jument, s’était-il posé sur elle ? Ou bien avait-il volé jusqu’à la limite de son champ de vision ? Les deux peut-être, toujours est-il que la réaction de Leïla fut d’un rare violence. Elle secoua brusquement la tête et se cabra en poussant un hennissement strident. David sentit les rênes lui arracher la peau des paumes et il se sentit arraché au sol. Heureusement pour lui, il avait des réflexes extrêmement vifs, sans quoi il aurait probablement mangé la poussière. Il se leva et s’approcha de la jument, et attrapa son filet au moment où ses antérieurs touchaient le sol. Le papillon l’avait rendu à moitié folle et elle se débattait, calme et sûr de lui, le jeune homme se mit à lui parler d’une voix très douce, apaisante, tout en caressant du plat de la paume l’encolure de Leïla où naissaient quelques traces d’écume tant elle était . . . . . . - Contenu sponsoriséSujet Re Un tour au lac // Kyria Un tour au lac // Kyria Page 1 sur 1 Sujets similaires» KyriaPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum. Domaine de la Rose Noire . ACCUEIL ARCHIVES RPSauter vers
Ily a toujours des endroits dans votre vie qui font rêver Mais après tout, tout le monde ne peut pas vous voir Pour la première fois dans la mémoire, le lieu lointain et mystérieux Et je suis revenu ici Comme un rêve, mais pas un rêve, oui, une réalité onirique La journée commence Harry Potter 2005 ~¤~ Londres ~¤~ Chemin de Traverse Re Dans un coin sombreInvité, le Dim 7 Jan - 134 Hey c’est Jacquie. Oui encore moi. Je ne vous lâcherai pas d’une semelle. C’est ma vie qui est en jeu, j’ai donc le droit d’intervenir, de donner mon avis et d’avoir le dernier mot. Je ne suis pas là pour jouer avec toi, mais pour prendre de vraies décisions. Regarde le grandir, comme toi et moi. D’un petit enfant tout gentil, je suis devenu un adolescent à deux facettes. Le voici avec ses amis, ils ont des histoires, ils ont tout leur temps, pour toi. C’est vrai et faux en même temps. J’ai quelques personnes que je fréquente avec qui je parle souvent de mes problèmes, de ma vie. Mais les autres ne sont que des connaissances à mes yeux, ça ne va pas plus loin. Je ne vais pas discuter de mes idées suicidaires avec quelqu’un que je viens à peine de rencontrer. Enfin bref, je suis Jacquie, je ne suis plus seul dans ce coin sombre mais je suis toujours autant là cette petite fille perdue. Pourquoi vient-elle te déranger pendant que tu t’enfonces encore plus sur la route de la liberté ? Ne la laisse pas te distraire. Si tu veux aller mieux, il faut aller au bout de tes idées. La mort n’est pas une fin en soi. Elle est juste un moyen de repartir à zéro dans une autre vie, le tout sans avoir de soucis. Aller de l’avant, ne pas regarder derrière soi. En plus, elle veut partir à la recherche de la lumière avec toi. C’est une très mauvaise idée. C’est juste un prétexte pour que l’on puisse se sentir mieux. Mais cette lumière n’existe pas en fait. On s’accroche désespérément à quelque chose pour ne pas avouer que tout est fichu. Que la vie à quitter notre âme et seul notre coeur maintien notre corps meurtri en vie. Alors tu vas me faire le plaisir de mettre fin à cette discussion, et de t’enfoncer dans un nouveau coin sombre pour que personne ne puisse te déranger. Tu as une tâche à accomplir, fais le au plus vite. Pas de remords, pas de passé, juste un futur nouveau qui s’offre à toi. Hop hop hop. Attends deux minutes. Cette rencontre inattendue peut peut-être changer les choses et toi tu veux rester une nouvelle fois seul pour mourrir en paix ? Sauf qu’après la mort, il n’y a rien. Tu n’existeras plus, ton âme sera déconnecté. Toutes les personnes que tu aimes ne seront plus là. Elles vont pleurer ta mort et cela va sûrement leur faire plus de mal à eux qu’à toi. Voir les personnes qui te sont chers souffrir, c’est ça que tu veux ? Les obliger à accepter ton absence ? Je ne crois pas que ce soit la bonne solution. Cette jeune fille que tu as dérangés, et qui souhaite en plus rechercher la lumière, tu dois la suivre. Elle aussi à peut-être des problèmes. A deux vous êtes plus fort. Et puis ce n’est pas dans ton genre de refuser d’accompagner une jeune demoiselle. Tu verras, quand tu trouveras cette fameuse lumière, tes problèmes prendront une plus petite place dans ton esprit. Fais confiance à ton coeur et pas à ce démon débile qui veut juste que tu meurs. Il ne t’aide pas, il te corrompt. Ce n’est pas ton ami. Ok, me revoilà face à la réalité. Je suis là debout à côté de cette mystérieuse fille. Elle veut que je l’accompagne pour que l’on puisse réussir la quête de la recherche de cette fameuse lumière. Je ne sais pas si c’est une bonne idée. Pour commencer, je ne sais pas qui est cette personne, je ne sais rien d’elle. Comment est-elle arrivée là ? Même moi j’ignore comment j’ai pu atterrir ici. C’est peut-être un signe du destin. Ou alors une aide divine afin que je conserve ma vie. Je ne suis pas croyant, pourtant cette idée me trotte dans la tête. Sommes nous sur Terre pour accomplir quelque chose qui est déterminé dès notre naissance ? Ai-je une tâche à réaliser avant de mourir ? Mon heure n’est peut-être pas venu après tout. De plus, cette inconnue doit me prendre pour un dingue. Je mets énormément de temps pour lui répondre. Je n’ai même plus conscience du temps qui passe ni de l’environnement qui m’entoure. Je suis comme dans une bulle en suspension dans le vide. Il est temps de prendre une décision, et surtout la bonne. Jacquie ne sait pas trop quoi faire. Il tente à nouveau de cerner son interlocutrice mais rien à faire, tout est trop flou. Seule sa voix lui permet de comprendre qu’il s’agit d’une fille. Et puis elle parle d’un Xavier, des étoiles. L’adolescent ne comprend pas grand chose. Entend-elle aussi des voix dans sa tête ? Cette rencontre est des plus étrange. Mais la curiosité a toujours été une qualité ou un défaut selon le point de vue pour Jacquie. D’un mouvement de tête il essaya intérieurement de virer l’ange et le démon qui partagent son esprit afin d’essayer d’avoir les idées claires. Il inspira un grand coup et d’une voix pas vraiment rassuré, répondit Heu … Oui je veux bien chercher la lumière avec toi mais avant d’y aller, j’aimerai savoir où nous sommes. Comment t’appelles tu ? Pourquoi sommes nous ici ? » Gaëlle PanyellaSerdaigle Re Dans un coin sombreGaëlle Panyella, le Dim 14 Jan - 2158 Viens ! Toi, Mary ! Au pays des Schtroumpfs ! Des petits êtres bleus ! comme toi ! Oh. Mais c'est vrai ça. Je suis toute bleue. Mes mains, mon visage. Mes pieds et mes ongles. Mes cheveux aussi. Tout est devenu bleu. Chouette ! Je serais la plus bleue des bleue de l'univers ! Tout est merveilleux ont-ils promis. Je dis oui, une, deux, trois quatre cinq six sept huit neuf dix fois ! Enfin un endroit sympathique et simple à vivre. Il était temps ! Puis on me dit dans l'oreille qu'il existe un chemin. Peut-être qu'ils connaissent aussi la direction de la lumière. Peut-être qu'il faut les rencontrer pour la trouver ! Et en plus ce n'est pas loin. Que demande le peuple ? Rien de plus, rien de moins, nous sommes paré pour la grande aventure, même Bill est prêt, je ne vois pas comment tout ça aurait pu mal se finir. Vraiment pas. Il y a un grand ! un grand sage Schtroumpfement génialissime et le farceur, c'est Schtroumpf aussi ça le grognon sera un peu moins drôle, mais lui il y a moyen de faire quelque chose pour lui rendre le sourire, j'en suis certaine. Sûre certaine américaine Puis la belle Schtroumpfette fera tourner des coeurs ! Eh toi, la petite tête toute triste ! Qui sait ! Ah, qui sait hein ? Va ptet te rendre le sourire la jolie gamine !Ou alors le Schtroumpf bricoleur pourra nous réparer le coeur avec sa clef à molette, ça peut aider les clef à molettes, elles sont généralissime quand certaines choses vont malLe reste j'en parle pas, y'a assez de démons comme ça alors vaut mieux ne pas trop sombrer dans des pensées bourrée de négatif, j'ai autre chose à faire que pleurer. Comme, pleurer en fait. Puis c'est ce retour en enfance qu'il m'inspire, depuis les étoiles des Winx, comme si le fait de se sentir plus petit empêchait de s’apitoyer. À moins que ce soit son visage triste qui m'inspire une étincelle de peine. Parfois le malheur d'autrui empêche un peu de se sentir mal, comme si on en avait pas le droit alors que si mais le cerveau décide que non, et quand cet idiot décide quelque chose on sait très bien que c'est compliqué de lui sortir " nan mais en fait tu dis des bêtises " donc voilà il faut se taire et rester un être bleu bien comme il faut tu vois que t'es pas si bête ! Merci Stella c'est encourageant ça regarde l'être se dessiner devant moi de plus en plus précis, mes yeux s'accommodent au sombre des lieux et ça c'est plutôt chouette, comme une chouquette saperlipopette ! Et il pose des questions donc il faut répondre c'est la moindre de choses, puis je sais à quel point les pourquoi peuvent être tuant lorsqu'ils restent des réponses plus vagues que floues. Nous sommes dans l'espace évidemment parce que la Terre y est donc nous aussi c'est logique Je m'appelle Mary bon ça c'est pas compliqué mais il vaut mieux préciser mais derrière moi il y a Xavier, Stella, Sourire et Sun, je ne sais pas si tu sauras les voir mais au pire c'est pas grave, quant à la dernière question un jour on ne t'a pas demandé ton avis pour savoir si tu voulais exister ou non, et depuis ce jour tu existes, c'est pour ça qu'on est là et maintenant passons aux choses sérieuses !J'attrape sa main, allume le morceau de bois qui repose entre mes doigts libres puis commence à courir dans une direction qui me semble moins moche que les autres en déclarant que les Schtroumpfs m'ont dit qu'il fallait suivre le chemin pour aller chez eux, et la lumière elle est là-bas ! et du coup vu qu'ils l'ont dit, ça doit être la vérité, je vois pas pourquoi ils mentiraient de toute façon et maintenant que nous en sommes, et bien il faut retourner à la maison ce qui est logique ! Shae L. KeatsGryffondor Re Dans un coin sombreShae L. Keats, le Lun 19 Fév - 202 RP uniqueIl y a la nuit noire, les heures perdues entre Minuit et cinq heures, celles où tout peut arriver. On ne sait jamais vraiment ni où ni comment elles passent mais c'est celles que je chérie le plus, le trou de la nuit dans lequel on a pas besoin de se cacherles trois-quart d'heures de vie de pleursles seuls où l'âme se fait encore violence. J'suis à ma propre adrénaline dans les rues de la villeune fois passée l'heure du sais pas ce que je fais, ni pourquoi j'en suis mais j'erre dans Londres, entres les façades de pierres où le lierre meurt sous terre. J'ai une botte trop grande pour moi, trouvée dans la boite à trésors des trois balais, une autre à ma taille, plus banale qu'autre chose, y a le cliquetis de métal au poignet, une chaine trouvé dans une paire de gant à Aza ou à Pius, un bracelet de l'un ou l'autre dont aucun ne remarquera sûrement la disparition, j'ai besoin de morceaux de gens pour m'accompagner. Ça me rassure, ça fait du poids et le contour. J'ai les dessins de gosses et les phrases sur ma peau, celles faites pas un moldu sous emprise, pour qu'il imprime les souvenirs sur ma peau, ça fait un peu mal, mais contrairement à l'autre, ils sont indélébiles. Alors je claque les semelles sur les pavés, il pleut un peu, on se croirait au début d'un mauvais film d'épouvante. Je sais où je vais. Il y a quelques rues un orphelinat sorcier. Quelques semaines que l'idée germe déjà, j'ai besoin d'un motif de survie, et la pensée pour laquelle je me flagellerai plus tard qu'Enzo ne suffira pas, parce que si je disparais, le petit aura au moins une mère. J'ai besoin de quelqu'un qui ne dépend que de moi. D'offrir ce que mes bras ont à donnercréer au lieu de détruireet voir grandir. Quelqu'un qui n'aura pas mes gênes pour lui pourrir le monde. Alors j'ai réfléchi. Prendre un enfant qui n'a plus rien et lui offrir une vie. S'en offrir une aussi, une raison d'être, de faire et d'avancer, j'ai désespérément besoin de moi même. De lui ou d'elle. Alors la solution la plus simple, pour éviter l'enquête à mon compte, pour ne pas prendre l'enfant de quelqu'un. Pour arrêter de détruire en cherchant à créer, j'ai choisi un orphelinat simple, oublié. J'aurais pu choisir un moldu, mais ça aurait été tenir l'enfant écarté du monde qui était le mien, et je ne voulais plus avoir à me cacher, alors cracmol, je n'en avais que fairel'enfant ne manquerait à personne. La cape masque la forme de ce corps d'emprunt, je me suis j'ai musclé ma carrure, pris les traits d'un autre que nul ne reconnaîtrait. Pour plus de sécurité, les prétexte viendrait plus tard, petit neveu orphelin, cousin en vacances il me faudrait trouver, les procédures d'adoption n'ont pas l'air si conséquences viendraient plus observé le lieu ces derniers jours, je savais que l'homme sortait toujours à une certaine heure, pour fumer. Alors j'ai attendu, et cinq minutes plus tard, il était à mes côtés. Me faire passer pour et prétexter demander du feu pour m'approcher, et alors lancé le premier impero. Et faire mouche. Il ne lui fallut pas longtemps pour modifier le sort qui entourait l'enceinte et me laisser entrer. L'impression de déjà vu qui me renvoyait à une certaine porte a grincé comme une scie à métaux, je me suis quelques instants mais il n'y a eu aucun mouvement. Alors j'ai refermé derrière moi et je me suis à l'intérieur. Je suis arrivée dans les cuisines. Y avait une vieille odeur de friture, nous étions vendredi, repas de fêtes sûrement, le repas détente, celui où on lâche doucement la panse. J'ai senti les odeurs, ouvert les portes pour en trouver la sortie, à commencer par celle du cellier. Ce sont les odeurs de cannelles et de gingembres qui m'ont les premières. J'ai continué, sans poser mes mains nulle part, à fureter dans les recoins, à tout sentir, tout toucher, pour comprendre ce qui avait bien pu faire l'univers de l'enfant. Tout ce qu'il connaissait, ce qu'il savait. La dernière porte s'ouvrait sur un couloir. Une odeur d'humidité, légère, comme celles qu'on essaie de chasser, les derniers relans de nuit, les dernières gouttes d'huiles essentielles pour effacer la misère. Il y avait dû y en avoir des larmes dans ce couloir qui menait aux chambres et aux bureaux. Ils n'en chasseraient jamais l'humidité. Le carrelage ne faisait pas un bruit alors que je m'y avançais, toujours suivi par l'homme. Je passais devant les bureaux des surveillants, une fin filet de lumière qui filtrait sous la porte, j'informulais un Collaporta pour m'assurer qu'elle resterait en l'état. Et je continuais ma route. J'arrivais à l'étage des chambres. Je devais être dans le coin des petits, et ce serait plus simple ainsi, ne pas croiser le regard des plus grands et devoir leur expliquer qu'on ne peut pas les emmener. Comment choisir un enfant. Croiser les regards des petits, et devoir décider auquel donner une vie, auquel la refuser. Alors j'avais marché le long du couloir, jetant un œil sur les portes jusqu'à en trouver une sur laquelle il n'y avait qu'un nom, voilà qui m'empêcherait d'avoir à choisir entre deux enfants dormant côte à côtemon cœur fendue aurait penser aux deux. Oliver Smith ?11 mois. Je songeais un instant qu'il me faudrait le rebaptiser. Le nom me trottait déjà en tête, mais il s'apposerait plus tard. Je passais mon chemin, allait jusqu'au bureau de l'étage, pour que nul ne se doute qu'il y avait un soucis, pour que l'alarme se désactive. Je le trouvais comme prévu occupé, du moins c'est ce que m'appris le mince filet de lumière qui filtrait sous la porte. Alors m'appuyant contre elle, j'attrapais ma baguette, et tentant de conserver mon calme, je soufflais quelques secondes avant de faire pivoter brusquement la porte pour me trouver nez-à-nez avec une pièce vide. Je comprenais alors que l'homme a mes côtés était le responsable de l'étage, ce qui me simplifiait la tâcheJe n'aimais pas l'imperopriver les gens de leur contrôle. Mais le cas l' me suivant docilement, il m'accompagna jusqu'au chevet de l'enfant. Il ne dormait pas. Il nous regardait avec de grands yeux bien éveillés, et je compris alors que, je n'aurais jamais pu faire un choix si tous les enfants m'avaient ainsi. Alors j'ai rendu la main et je l'ai laissé attraper mon doigt. Le sentir, le mordiller, je l'ai laissé appréhender. Il lui faudrait vouloir de moi autant que je voudrais de lui. Et contre toute attentejusqu'à en faire trembler mes jambesil a souri. Je l'ai pris dans mes bras. Doucement, la peur absolu de le casser tant il paraissait fragile. J'avais peur de tout ce qui pourrait lui arriver désormais. Sa tête avait l'odeur si significative qu'on celle des bébés. Un mélange de crème et de fleur d'oranger. J'aurais pu passer des heures ainsi, mais le temps pressait. Nous sommes sortis de la chambre, et je suis en face de l'homme qui se tenait à mes ordres. Le sort durerait quelques temps, mais je n'avais qu'un ordre pour lui, je ne renouvellerais jamais mon emprise sur lui. Dites-leur qu'il y a eu une erreur, que l'enfant avait encore un parent. Qu'ils sont venus le chercher. Falsifiez les documents nécessaires. Je ne veux pas qu'on nous retrouve. Et en le remerciant je m'enfonçais dans le couloir. Transplaner ici me serait impossible, bâtiment sécurisé, sans l'être au fond, les alarmes nocturnes sur les chambres plutôt que sur le bâtiment pour qu'elles ne se déclenchent pas au cours des allées et venues diurnes. Je passais discrètement devant les bureaux du bas lorsque la porte s'agita sous l'emprise d'une main alors qu'une exclamation d'incompréhension semblait s'élever de l'autre côté. Il faudrait peu de temps pour qu'ils sortent d'ici, alors sans demander mon reste, je disparaissais, repassait rapidement par la cuisine et la porte de sortie que je verrouillai derrière moi, nous rendant, l'enfant et moi, aux caprices de la nuit. Et pour brouiller les pistes je m'éloigner de quelques pas avant de, le serrant contre moi, disparaître dans un Crac. Ce soir le Shae que la vie avait gravé sur mes osSe voyait rejoint d'un autre nom De sept lettres, jeté en pâture dans la nuit dans un édition par Shae L. Keats le Dim 11 Nov - 1431, édité 1 fois Hillarius LudwigSerdaigle Un trou dans la CoqueHillarius Ludwig, le Dim 4 Mar - 2018 *RP avec Kalèn Bloom*Quelle agitation ! Quelle foule ! Ca parlait anglais de partout ! Tout allait si vite depuis son arrivée à Londres. A peine le temps d'avoir dit au revoir à sa tante de Wetherby, qu'il était arrivé, accompagné de son père Maximus et de son frère Ballio, dans une rue bondée qu'il ne connaissait pas. En tout cas ça sentait rudement bon la foule.*Bienvenue au Chemin de Traverse, les garçons ! *Leur père leur parlait encore français quelques fois. C'était sa manière à lui de les rien dire, Hillarius lâcha le bras de son père et accéléra le pas.*Je veux un chat, Papa ! Un chat tout blanc ! *Maximus soupira. Son fils ne tenait pas en place. Entendant les appels de son père derrière, lui le gamin, passa rapidement entre les robes et les vestes, se faufilant un chemin dans un bruissement de tissu. Il s'abandonnait à l'inconnu, et faisant cela il savait pertinemment que son père allait le perdre, soupirer, puis se fâcher un peu peut être. Mais surtout il allait être inquiet. Peu importe pour l'instant, il se sentait libre, décollé de son frère ennuyeux et bougon. C'est comme si une grande porte immense venait de s'ouvrir. Il chercha des yeux ce dont il aurait besoin... Une baguette?Des livres? Hillarius recula pour essayer de lire les grandes devantures, trop hautes pour lui. Mais son attention fut détournée par le miaulement d'un chat gris derrière une vitrine de magasin juste derrière sa petite tomba en admiration devant le petit animal poilu et resta un instant à lui parler tout bas quand soudain, une main froide se posa sur sa nuque. Il se retourna en sursaut, ses grands yeux ouvert. Ballio !*C'est pas drôle, Hilly. C'est vraiment pas drôle. La prochaine fois je te laisserais te perdre tout seul. Et ni Papa, ni moi on viendra te récupérer, t'as compris?*Hillarius fit mine de l'écouter une seconde, puis son regard dévia sur autre chose qu'il semblait suivre des yeux avec intérêt.*Dis, tu m'écoute?!*Le jeune sorcier redescendit lentement les yeux sur son frère, et à son grand sourire gribouillé sur sa tête pâle, Ballio compris qu'il se fichait de sa tête en faisant mine de l'ignorer.*T'es vraiment un abruti. Maman aurait honte de toi.*Le sourire d'Hillarius s'évanouit. A la place, une expression innocente s'afficha sur son visage.*Maman? Mais elle est partie Maman. Elle nous a laissé avec Papa parce qu'elle s'en fiche de nous. Non? Et tu le sais très bien. Je suis petit mais je suis pas idiot, tu sais.*Grand sourire de nouveau. Comme s'il venait de commenter la couleur de son baffe. Une joue toute rouge. Hillarius frotta sa joue avec étonnement.*Les enfants ! Ah, les garçons vous êtes là. Hilly...* Le père s'arrêta un instant puis s'agenouilla. Il posa la main sur la joue de son fils, l'embrassa, puis lança un regard sévère à Ballio. Celui-ci maintint son regard fiché dans celui de son père. Le garçon avait les yeux de sa mère. Et le même regard sombre.*Ballio, arrête*Il se releva*Ne me regarde pas comme ça*Sans un mot, Ballio se rapprocha de son père, prêt à reprendre sagement la route.*Pardon*Ils restèrent tous les trois au milieu de la Rue un instant. Sans rien dire. Hillarius regardait son père, presque avec tristesse, balançant son bras, en attente qu'il dise quelque chose. C'était la première fois que celui semblait réellement désarmé. Encore quelques secondes lourdes. Puis tout d'un coup son visage s'alluma de nouveau, presque mécaniquement lorsqu'il aperçut dans la foule une jeune femme. Apparemment il la connaissait. L'homme s'activa de nouveau pour aller lui parler, invitant ses fils à le suivre. Hillarius lança un regard vide mais que Ballio savait chargé de ressentiment, vers son frère. Puis les garçon suivirent leur géniteur pour aller à la rencontre de cette inconnue. Invité Re Dans un coin sombreInvité, le Lun 5 Mar - 2002 Une paupière se soulevant doucement, libérant la candeur de l'iris bleuté, encore voilé par le sommeil. Kalén se retourna sous ses draps, enfouissant sa chevelure bouclée sous les oreillers, masquant son visage de son éclat cuivré. C'était son jour de congé aujourd'hui. Son travail au Ministère occupait la quasi totalité de son temps, et, généralement, elle profitait de son jour de libre pour faire une bonne grasse pas aujourd'hui. Elle s'était forcée à mettre un réveil pour profiter des ses quelques heures de liberté, censées s'égrainer au Chemin de Traverse. Délaissant à regret son lit beaucoup trop chaud pour être ainsi abandonné, elle appela à elle une robe propre, sortie tout droit de son placard. Le vêtement la suivit dans la salle de bain en lévitant tranquillement derrière elle et, quelques minutes plus tard, Kalén en ressortait, ou deux coups de baguette, une tasse de thé et une grande cape sombre jetée sur ses épaules plus tard, elle sortit sur le pas de sa porte, ignorant la barque pour lui préférer un transplanage efficace. La chaleur du Nest allait lui manquer ce matin, mais elle serait rapidement de retour avec ses le mois d'août annonçait un Chemin de Traverse plein à craquer de jeunes Poudlariens avides de fournitures scolaires, et elle tremblait déjà d'effroi à l'idée des magasins bondés de gamins criards et mal élevés. Poussant un léger soupir, elle pivota sur elle-même et disparut dans un craquement, en direction du Chaudron Baveur.*L'ambiance du pub changeait de l'atmosphère venteuse du Pays de Galle. A cette heure déjà, de multiples sorciers et sorcière se pressaient au bar, discutant et riant autour de pintes remplies à ras bord. Saluant d'un signe de tête les deux ou trois sorciers qu'elle reconnaissait parmi la foule, elle se dirigea vers l'arrière cour et ouvrit le passage vers la rue elle le craignait, l'endroit était bondé. Réprimant un nouveau soupir, elle entreprit de se faufiler dans cette masse grouillante. Passer à la BAM d'abord. Une fois le Niffleur acheté, elle pourrait rapidement s'isoler dans la tranquillité de l'Allée des Embrumes. Il faudrait se rendre chez Barjow & Beurk, pour un achat, certes, mais Kalén avait aussi envie de revoir Aya. Depuis leur dernière rencontre au Chaudron Baveur, elles n'avaient pas encore eu l'occasion de se recroiser. Ignorant les enfants pressés devant la somptueuse vitrine des Halles Magiques, admirant les balais et autres accessoires de Quidditch entreposés dedans, elle allait pénétrer dans la Boutique d'Animaux, lorsqu'une voix l'interpella. Tournant la tête avec curiosité, Kalén aperçut un visage émerger de la foule, un visage tout droit sorti des tréfonds de son passé."Maximus Ludwig ! Toi ici, ça c'est une surprise ! Comment vas-tu depuis le temps ?"Maximus avait été un jeune ami de son père, alors que ce-dernier enseignait encore la Métamorphose à Beauxbatons. Elle se souvenait de lui, alors qu'il n'était encore qu'un jeune adulte, et qu'elle-même n'était que petite fille. C'était une étrange réminiscence que de le retrouver là, à Londres, en train de faire ses emplettes au Chemin de Traverse. Derrière lui, deux silhouettes se découpaient dans son ombre, un adolescent grognon que Kalén salua d'un signe de tête et d'un sourire poli, et un plus jeune garçon à l'allure candide et aux vêtements trop grands."Bonjour toi, fit-elle avec un sourire espiègle et un air pétillant dans les yeux. Laisse-moi deviner, tu entres à Poudlard cette année ! Je me trompe ?" Hillarius LudwigSerdaigle Re Dans un coin sombreHillarius Ludwig, le Lun 5 Mar - 2152 "Ca.. Ca va très bien et toi? Effectivement ça fait... très longtemps, c'est le moins que l'on puisse dire. Qu'est-ce que tu devient? Depuis tout ce temps?" Hillarius leva les yeux sur cette jolie femme aux boucles brunes. En la voyant s'avancer vers eux et commencer à discuter avec son père, il sortit distraitement de sa grande poche une petite boîte à biscuits en fer. Il n'écoutait plus trop ce qui se disait, il attendit simplement que les deux adultes finissent de parler d'eux, et viennent lui parler à lui. Il savait que son père n'allait pas tarder à le présenter, il fit juste mine de ne pas faire attention, de jouer l'étourdi. De préparer le terrain. En ouvrant la boîte toute grise argentée, il prit une fine galette au sésame qu'il fit craquer d'un coup entre ses dents, les yeux dans le vide. Puis tout d'un coup il entendit son nom et leva de nouveau la tête, écarquillant les yeux. "Hillarius, " fit son père, "Tu es toujours là? On te parle, mon grand !" La dame le regardait en souriant, ses yeux bleus fixés sur lui en attente d'une réponse. Le jeune sorcier déglutit et ne sachant que répondre, tendit rapidement sa boite en fer, presque sur la pointe des pieds, vers l'inconnue en lançant du tac au tac, "Bonjour Madame, je m'appelle Hillarius. Vous voulez un gâteau? C'est mon Papa qui les fait !"Le coup du biscuit gratuit, ça marche toujours pour faire bonne impression devant les adultes. Et il voulait donner bonne impression. Derrière, il sentit le regard noir de Ballio fixé dans son dos. Mais peu importe. Il se fichait pas mal que son frère reste en retrait tout le temps face aux autres. C'était à lui qu'on avait adressé la parole, pas à Ballio. Et ce, pour une raison très simple. Il avait toujours moins séduit que son cadet. Moins bavard, moins extraverti. Et Hillarius comptait bien en profiter. Ballio leva les yeux au ciel, irrité de cette mise en scène. Il connaissait bien son frère et savait bien que tout ce jeu n'était là que pour s'attirer les faveurs de tout le monde. Il regarda son père réagir. Celui passa une main dans ses longs cheveux blonds, aussi mal peignés que ceux de son plus jeune fils, l'air gêné et amusé. "Excuse mon fiston, Kalèn. Il est un peu tête en l'air. Pas vrai?" Dit-il en lui jetant un regard qui se voulait faussement sévère. "J'espère que tu seras plus concentré pendant tes cours, mon grand" Puis il se tourna vers Ballio. Et d'un ton moins léger lui lança "Mais lui au moins, il dit bonjour.."Ballio resta immobile un petit moment, légèrement crispé. Puis il s'avança d'un demi-pas en hochant la tête. Hillarius pouvait remarquer que ses mains dans son dos s'agitaient l'une contre l'autre, signe récurrent que son aîné allait faire quelque chose qu'il détestait faire être poli. Il lâcha, un court. "Bonjour."Maximus lâcha un soupir. Puis regarda Kalèn avec ce sourire à bascule, gêné, qu'elle connaissait si bien. Celui que, même jeune, il avait en s'excusant de tout et de rien. "On allait... justement acheter une baguette pour mes fils. Et toi? Qu'Est-ce qui t'amène par ici?" Invité Re Dans un coin sombreInvité, le Sam 10 Mar - 231 "Eh bien, après Poudlard j'ai intégré l'Ecole des Aurors. Depuis un an je travaille au Département de la Justice Magique de Londres, au Bureau des Aurors. Je dois dire que c'est un travail très prenant, mais qui me laisse un peu de temps pour m'adonner à des recherches sur l'image animée. J'ai acheté une maison au Pays de Galles, près de celle de papa. Là j'ai pu y aménager un coin entièrement dédié à l'enchantement d'appareils de projection moldus. Et toi ? Que fais-tu à Londres ? Je te pensais encore en France !"Le jeune garçon à qui elle s'était adressée semblait perdu dans ses pensées. Lorsque son père l'en sortit, il sembla sortir tout droit d'un rêve, et brandit la boite en fer qu'il tenait dans ses mains, avec une spontanéité qui arracha à Kalén un grand rire franc qu'elle jeta dans le brouhaha déjà conséquent de l'Allée. Le petit était une belle allégorie de la douce naïveté de l'enfance, ses boucles blondes lançant des reflets à la ronde, et quelques graines de sésame encore collées à ses babines. Approchant sa main de la boite tendue, elle se saisit d'un biscuit et croqua allégrement dedans."Mmmh ! C'est délicieux Hillarius, tes biscuits sont très bons, et ton Papa très doué !"Elle adressa un grand sourire à Maximus, et avala sa bouchée avant de répondre à Maximus."Oh, ne t'en fais pas, tu sais que j'étais un peu pareil quand j'étais petite, fit-elle en adressant un clin d’œil au blondinet. Alors, c'est la grande rentrée cette année ?"Elle se pencha soudainement vers l'enfant, et ancra ses deux prunelles gelés dans ses iris d'améthyste."Tu sais qu'on raconte qu'un monstre géant hante les sous-sols du château ? Personne ne l'a aperçu depuis cent ans, mais certains élèves racontaient l'entendre dans leur sommeil..." murmura-t-elle, le visage figé, la bouche entr'ouverte, lui laissant clairement admirer l'air dément qu'elle affichait à aussi soudainement qu'elle s'était courbée dans sa direction, elle se redressa et reprit d'un ton parfaitement normal."Tu as déjà une idée de la maison dans laquelle tu te retrouveras ?"Alors qu'elle parlait au petit Hillarius, l'autre jeune homme venait de s'avancer pour la saluer. Laissant ses lèvres s'étirer en un sourire pétillant, qui laissait sa fossette se fendre au coin de sa bouche, elle le regarda, ses yeux brillant comme glace fondant au soleil."Bonjour Ballio, tu entres aussi à Poudlard ? Ça va, pas trop d'appréhension pour la répartition ?"Elle laissa ses iris posées encore un moment sur le garçon, détaillant sa silhouette maussade, son allure et ses traits. Il ne ressemblait pas beaucoup à son petit frère, les deux étaient très différents... mais respiraient chacun une singularité intéressante. Laissant de nouveau son attention se focaliser sur Maximus, elle ouvrit la bouche."Ah ! La baguette est un achat formidable. Profites-en, fit-elle à l'adresse du Petit Garçon Sésame, la première rencontre avec ta baguette est un moment unique que l'on vit pas une deuxième fois. La sensation est incroyable !"Puis elle désigna la Boutique d'Animaux Magiques d'un petit signe de tête."Oh, il fallait que je passe à la BAM pour m'acheter un Niffleur. Cela fait longtemps que je rêve d'un animal de compagnie affectueux, et Lyra, ma chevêche commence à se faire vieille. Je l'ai acheté juste avant de rentrer en Première Année, tu devrais y songer, ajouta-t-elle pour Hillarius. C'est très pratique d'avoir sa propre chouette pour envoyer du courrier."Baissant légèrement la voix, elle reprit à l'adresse de son père."Je dois aussi aller chez Barjow et Beurk pour un... achat professionnel, mais j'imagine que tu n'y passeras pas ?" Hillarius LudwigSerdaigle Re Dans un coin sombreHillarius Ludwig, le Sam 10 Mar - 1815 Mais c'est super ! J'en connais un que ça intéresserait sacrément. Il est féru de cinéma tu sais? Et puis moi... Je trouve ça super aussi que tu te lance là dedans. L'art moldu.. Un vaste sujet... et passionnant en plus de cela ! Quand à notre situation, et bien.. C'est un peu plus compliqué. On est arrivé depuis très peu de temps à Londres, avec les garçons, tu sais... Un soucis de famille. Un peu long à raconter. Enfin, bref, on est... très heureux d'être là. On va pouvoir s'installer chacun tranquillement dans nos petits nids. Et moi... Et bien, toujours le nez dans mes livres, figure toi. J'ai réussi à en éditer déjà un ou deux tu sais ! Disons que... je fais ce que je peux. mais j'ai été obligé de postuler pour un emploi au ministère. Seul, il faut que j'assure les frais de scolarité et tout ce qui va avec, du mieux possible... Mais ça va n'avais pas écouté. Tout ça, je le savais déjà. Mon père, qui allait encore dire que tout allait bien, qu'il ne se faisait pas de soucis. C'était faux. Lui, n'allait pas bien. Et il se faisait beaucoup de soucis pour nous. Il se démenait pour nous faire reprendre une vie normale, essayant d'effacer l'ardoise, la peur au ventre que Maman revienne nous chercher. Ce bloc de pierre glacée, mat blanc et âpre qu'était ma mère. Je ne voulais plus la revoir. Ni en entendre parler. Elle rendait déjà bien assez triste mon Papa. Après ces discussion de grands finies, Kalèn accepta mon offrande avec beaucoup d'amusement. Mon sourire s'écarta encore plus, les zygomatiques tendues."Alors, c'est la grande rentrée cette année ?""OUI ! Je vais aller à l'école ! Je suis trop content je vais pouvoir enfin faire de la magie et rencontrer plein de..."A peine ma phrase terminée que la dame au regard étrange s'était penché sur moi brusquement, une expression bizarre aux lèvres."Tu sais qu'on raconte qu'un monstre géant hante les sous-sols du château ? Personne ne l'a aperçu depuis cent ans, mais certains élèves racontaient l'entendre dans leur sommeil..."Elle m'avait coupé en plein élan. Je sentis sur mon visage le sourire tomber d'un coup. Heeeeuu... Quoi? Un monstre ?! Comment ça, un monstre? Comme dans les livres de Papa? L'histoire de la Chambre des Secrets, le Basilic, les tantaculas Géantes? Et qu'est ce que c'était que ce regard? Je me sentais traversé par ces yeux bleus fixés dans les miens. Ils me.. désarmais et me fascinais en même temps. Quelque chose de fou. Et de légèrement inquiétant. Tout aussi brusquement, la dame se releva et me posa une autre question sur un ton revenant bien plus naturel et bienveillant. L'étrange lueur de ses iris avait disparu."Tu as déjà une idée de la maison dans laquelle tu te retrouveras ?""Haha.. heu.. n-n-non ! En fait je sais pas trop. Heu... Je-je veux dire.. "Vite ! Trouver une réponse plaisante ! Amusante ! Il se sentait à découvert... désarmé? Non ! Pas désarmé. De toute façon ça n'existait pas ce qu'elle racontait. Encore des salades d'adulte, ces histoires de monstres... Hein? Ne pas y penser. Répondre ! Tout le monde te regarde !"J'aimerai bien heu... heu.. Serddo.. heu.. Serpentouffle ? "Sans réfléchir, il lançait ça, les lèvres tremblantes. *Arrête ! Les lèvres. Stop.* Elles s'arrêtèrent immédiatement. Je repris ma respiration. Mes yeux grand ouvert. Le sourire. Bien. Avec un peu de chance, sa frayeur passagère n'aura pas trop transparu. Même question pour Ballio. Celui-ci n'hésita pourtant pas une seconde."Serpentard."Bravo, merci pour cette intervention monsieur Ballio Ludwig. Vous n'auriez pas pu être plus loquace que ça. Magnifique ça pour faire plaisir à Maman. Mais qu'est ce qu'il lui trouvait à Maman, bon sang? Il pensait vraiment qu'elle allait revenir, nous prendre dans ses bras, nous dire tout bas "Vous m'avez manqué, les enfants"? Mais non ! Jamais de la vie."Ah ! La baguette est un achat formidable. Profites-en, la première rencontre avec ta baguette est un moment unique que l'on vit pas une deuxième fois. La sensation est incroyable !"C'est vrai? Je ne pouvais plus attendre, je trépignais d'impatience à l'idée d'en avoir une, de faire flotter ce que je voulais dans les airs, de lancer des Rictusempra sur mon frère, et.. Bon, d'accord. C'était peut être un peu méchant, mais c'est vrai qu'il m'agaçait en ce moment. Toujours ce regard noir. Qu'il sourit bon sang ! Ou alors qu'il se cache et qu'il se taise ! Chaque rare mot qu'il prononçait était acide...Puis Kalèn évoqua la Boutique d'Animaux Magique. Déjà dans ma tête se rallumait un feu d'artifice. J'oublia d'un coup toutes mes préoccupations futiles. Oui ! Oui, oui et OUI ! Moi aussi je voulais y aller !"Papa, papa, papa, papa !! Il faut qu'on aille à la boutique avec les animaux ! Y en a plein qui sont trop mignons je suis sûr. Madame, Madame ! On peut venir avec vous s'il te plait? S'il te plaaîît...""On va voir, attends... " me répondit mon père en essayant de me tempérer. Puis il se tourna vers Kalèn. "L'allée des embrumes... Je vois. Quel genre d'achat? Oh, non désolé, ça.. ça ne me regarde pas trop. Mais tu me connais. Ce n'est toujours pas le genre d'endroit que j'aime fréquenter... Surtout avec les enfants. "Ah bon? Qu'est ce que c'était que ça? L'allée des embrumes? Autant poser la question."C'est quoi l'allée des embrumes, Madame?" Gabin ŠprajcSerdaigle Re Dans un coin sombreGabin Šprajc, le Dim 6 Mai - 2322 Bientôt deux mois sans réponse et après une message privée sans réponse aussi, je me permets donc d'entamer mon Rp. Pv Mangemort 67. Trois années plus tôt. Le soleil s’était replié depuis plusieurs heures maintenant, laissant la noirceur inquiétante de la nuit se répandre dans les rues du chemin de Traverse. Un vent hivernal soufflait dans les ruelles étroites, depuis bien longtemps désertées par les passants. Le chemin de Traverse, vivant et animé la journée, perdait de sa splendeur une fois la nuit tombée. Les récentes attaques des Mangemorts n’avaient fait qu’encourager les sorciers à rester cloitrer chez eux, de peur d’un croiser un et de subir ses jeux de douleurs. Et on criait au scandale, contre le Ministère de la Magie, soit disant incapable de les attraper. Si seulement la population du monde magique savait le nombres d'heures que faisaient les Aurors pour essayer de les trouver. Mais comme des rats, les mages noirs réussissaient toujours à s'échapper. Seul, une écharpe autour du cou, l’Auror avançait dans l’obscurité, ses yeux l’égerment plissés à cause du vent. De la buée s’échappait à chacune de ses respirations et ses mains, emmitouflées dans d’épais gants en cuir noir, ne cessaient de trembler. Il s'était habillé rapidement, enfilant un jean et un pull en laine aux couleurs de sa maison. un accoutrement pas assez réchauffant contre les rafales de vent qui hurlaient dans la ruelle. Un accoutrement bien étrange pour un sorcier faisant parti de l'élite du Ministère de la Magie. L'américain avait essayé de s'allumer une clope, sans succès. Maudit climat anglais. Dans la ville de ses parents, il faisait bien meilleur. Cela faisait bientôt une vingtaine de minutes qu’il marchait dans les ruelles étroites parallèles au chemin de Traverse. Vingt minutes. Vingt minutes avant, il se trouvait tranquillement assis dans son canapé un livre dans les mains, un feu dans la cheminée et une tasse brulante de café sur sa table de basse. Le sorcier attendait impatiemment l’arrivée de sa douce, qui ne devait plus tarder à rentrer de son travail au Ministère. Mais la seule chose qui arriva, fût la stridente sonnerie de son téléphone portable qui brisa le silence de son douillet cocon. Une belle invention moldue, quoi que, des fois un peu trop bruyante. Matt avait du grommeler et soupirer quelques instants avant de se décider à répondre. Un numéro masqué. Que voulait-on lui vendre à une heure pareille ? Par la Barbe de Merlin, si c’était encore pour un aspirateur, il allait devenir fou ! Non, cette fois là, se ne fut pas pour un aspirateur. Une voix aigue, tremblante, empreint de panique lui demanda le rejoindre rapidement sur le chemin de Traverse. Une information importante à lui divulguer. Une information sur les ennemis du Ministère, des Aurors, les Mangemorts. Cette voix, l’américain la reconnue aisément, comme appartenant à l’un de ses indics. Un sorcier de bas étage au penchant très prononcé pour la magie noire. Sans plus attendre, l’Auror gribouilla un mot d’excuse sur une post-it pour sa douce, qu’il laissa sur la table du salon, avant de s’envoler dans un nuage de fumée dorée. Trouver une femme qui acceptait les contraintes de son travail n’avait pas été chose aisé pour le sorcier. Par chance, le destin l’avait jeté dans les bras d’une sorcière au cœur en or. Ainsi fût la raison de la présence de Matt Austin, Auror au Ministère de la Magie, dans une ruelle sombre du chemin de Traverse durant une longue et froide nuit d’hiver. Grommelant et soupirant, recherchant un indic et poursuivant sa chasse aux mages noirs. Une nuit qui le laissera à jamais marqué. Mangemort 67Mangemort à la retraite Re Dans un coin sombreMangemort 67, le Sam 12 Mai - 2118 À cette époque, je ne suis pas encore le Seigneur des TénèbresOh oui, je l'ai eu cette marque sombre qui m'enverrait directement à Azkaban. Depuis que je l'ai, j'ai ce sentiment de folie qui m'habite, toujours été présent mais enfoui attendant d'être réveillé et son heure est arrivé ! Oh oui, je le sens bouillonner et je n'en trouve plus le sommeil, trop agité parce qu'à présent je suis un Mangemort. Quoi de mieux que d'aller se dépenser dans les ruelles, surtout que j'ai une idée derrière la tête. Parce que porter le masque me permet d'apprendre beaucoup de choses. Le flux d'informations depuis que j'avais rejoint l'Ordre Noir ne semblait plus s'arrêter en apprenant chaque fois un petit peu plus sur chacune des personnes de la communauté magique. Inconnus et connus pensaient que leurs petits secrets ne sortiraient jamais mais il fallait compter les mages noirs dans cette équation et il semblait bien que nous étions plutôt doués pour écouter aux il fallait croire que c'était mon jour de chance lorsque j'appris que notre chère et puissante 70 fréquentait un Auror. Pourquoi ne pas parcourir la nuit à sa recherche ? Après tout, l'élite ministérielle nous cherche également alors peut-être qu'avec un peu de chance. Dans tous les cas, me dépenser me ferait du bien. J'en suis certain. Robe noire et masque ainsi que la baguette, tout était prêt pour une des premières sorties après avoir reçu la marque. Peut-être était-ce un peu présomptueux de ma part que de sortir seul mais je me sentais l'âme d'un lion qui dévorerait tout sur son froid hivernal se glissait là où il pouvait et me refroidissait petit à petit même si je marchais d'un pas vite. Regardant autour de moi, arme en main, action-réaction dès que possible. Mais rien, ce que c'était décevant. Et puis, au bout de longues demi-heures, voilà qu'une silhouette attire mon regard. À croire que c'est la seule personne aux alentours, le froid a eu raison des promeneurs nocturnes mais pas celui-ci, il regretterait d'avoir mis le nez dehors celui-là. - Bonsoir, une envie de se promener sous étoiles londoniennes ? Pourtant, difficile de distinguer quoique ce soit....Baguette visible, je voulais être certain que l'inconnu sache qu'il ne fallait pas prendre à la légère s'il décidait de s'en prendre à moi. Gabin ŠprajcSerdaigle Re Dans un coin sombreGabin Šprajc, le Sam 12 Mai - 2334 Voilà maintenant une bonne vingtaine de minutes que Matt recherchait l’indic l’ayant contacté, mais il ne semblait n’y avoir aucune trace de lui. Même si le fait de marcher le réchauffait un peu, ses jambes lui paraissaient lourdes et engourdis à cause du froid. L’américain souffla dans ses mains pour les réchauffer tandis qu’il grommela et pestait de tourner en rond. Il aurait mieux fait de rester au chez lui au chaud devant sa cheminée. Le sorcier nota pour lui même dans son esprit ne pas sortir une nuit d’hiver sur le chemin de Traverse. Ou sortir avec quatre mentaux, trois pulls et cinq paires de chaussettes. Le sorcier jeta un regard à sa montre au bracelet en cuir marron. Axelle était surement déjà arrivée chez lui. La pauvre, elle devait pester comme un diable. Encore une dizaine de minutes puis il s’en irait de cette épouvantable endroit. De toute manière, si il ne partait pas, il allait finir par ne plus pouvoir bouger, figé par les rafales glaciales. Puis même si elle lui faisait la tête, savoir que sa douce se trouvait chez lui, lui réchauffait le cœur. Un dernier petit tour du chemin et ensuite, un transplanage tout droit à Russell Street. Des pensées heureuses en tête, l’américain continua sa marche sur le Chemin de Traverse. Englobé par la nuit de toute par, il n’arrivait pas à distinguer les formes à plus d’une dizaine de mètres. Dix minutes passèrent et l’Auror n’avait toujours aucun signe de son indic. Il n’avait même vu aucun signe du moindre être vivant sur le chemin. Matt soupira et haussa les épaules. Il était temps pour lui de rentrer. Tout en marchant, le sorcier se décida tout de même à regarder une dernière fois sa montre. Il ne remarqua pas l’individu qui venait de sortir de l’ombre, face à lui. Ce fût la voix de l’individu qui le força à lever le nez de sa montre. Bonsoir, une envie de se promener sous étoiles londoniennes ? Pourtant, difficile de distinguer quoique ce soit.... » L’américain releva doucement la tête et fixa l’individu face à lui. Il eu aucun mal à reconnaître un adorateur des mages noirs. Après tout, ils avaient tous ce stupide masque sur la tête. Le Mangemort face à lui tenait sa baguette de manière à ce qu’elle soit des plus visibles, prêt à en découdre avec le premier venu. Manque de chance pour lui, le premier venu n’était d’autre qu’un Auror. Un Auror qui ne comptait pas fuir en hurlant de terreur. Un sourire narquois apparu alors sur les lèvres du sorcier américain tandis qu’il releva légèrement son pull pour laisser apparaître sa plaque dorée d’Auror attachée à la ceinture de son jean. - J’ai pas beaucoup de temps pour faire mumuse avec toi le masqué, une compagnie bien plus agréable m’attend. L’Auror attrapa sa baguette qui se trouvait dans son dos et la pointa en direction du Mangemort. Tu ne m’en voudras pas si je ne te déclare pas tes droits ? Je te les dirais quand tu seras bien au chaud au fond de la cellule du Ministère de la Magie. Sans attendre de réponse de la part du mage noir, Matt formula un Aresto Momunto. Espérant que son adverse se retrouve suffisamment ralenti par son premier sortilège, le sorcier américain formula ensuite un Petrificus Totalus, dont le rayon de couleur fonça droit sur le sorcier masqué. Après tout, la capture du Mangemort restait la priorité. Sa mort n’intervenant seulement si Matt s’en retrouvait forcé par la suite des événements. L’Auror ne prit pas le temps d’appeler ses collègues à la rescousse, se jugeant suffisant pour procéder à l’arrestation d’un Mangemort. Après tout, il avait combattu de nombreuses fois et il devait être en capacité de se défaire d’un mage noir. Confiant, baguette en main, ses pensées étaient tournées vers son affrontement. Ps Mangemort 67, je t'accorde mon LA si tu en as besoin. Mangemort 67Mangemort à la retraite Re Dans un coin sombreMangemort 67, le Dim 13 Mai - 923 La réponse de l'inconnu fut non-verbale... Heureusement que je portais un masque, car la surprise de tomber sur un Auror aussi rapidement me fit écarquiller les yeux. Quelle joie ! Au moins, j'étais certain de bien pouvoir m' Je pense surtout que je serai bien au chaud à Hollow après m'être occupé de toi, je pense que ma Maîtresse sera ravi que je me sois débarrassé de toi Répondis-je à ses vaines menaces. Je ne comptais pas appeler d'autres masqués, si cela se passait mal, ma marque me serait utile mais tant que je pensais pouvoir prendre le dessus. Hors de question de partager mon jouet !Alors que je m'apprêtais à réagir à sa première attaque rien ne vient ou du moins rien comme il faut, un léger ralenti d'une micro seconde que je n'avais pu remarquer que parce que j'avais voulu bouger ma baguette puis une esquive en faisant un grand pas sur la Il faut prononcer correctement les formules mon cher, sinon tu vas me faciliter la tâche et je risque de m'ennuyer. Circumglacie ! Baguette pointée dans la direction du cette température le sol devait bien être gelé par endroit, j'avais conscience que ce ne serait pas si efficace que si je m'étais assuré que la glace recouvre le sol mais j'avais une autre idée derrière la tête. Pendant que les pics mortels de glace sortait des amas de neige, j'informulai un Ango Nubes prêt à étouffer mon adversaire. Soit il mourrait en manque d'oxygène, soit il risquait de se transformer en passoire en tentant de sortir de ce nuage asphyxiant. Amusons-nous très cher, je sens que je vais pouvoir me défouler face à un adversaire expérimenté ! Gabin ŠprajcSerdaigle Re Dans un coin sombreGabin Šprajc, le Dim 13 Mai - 1339 Était-ce l’excitation du combat qui l’avait fait prononcer trop vite son premier sortilège ? Matt ne s’en y préoccupa pas très longtemps. Au milieu d’un combat, la moindre inattention pouvait couter très cher. L’Auror regard le Mangemort sauter sur le côté pour éviter son sortilège de pétrification. Le mage noir se releva vite pour contre attaquer. Il visa le sol gelé par le froid du Chemin de Traverse et des pics de glace sortirent du sol pour converger vers le sorcier américain. Son cerveau réfléchissant à toute allure pour savoir comment s’en sortir, le Serdaigle aperçu du coin de l’œil le masqué entrain de lancer son prochain sort. Baguette en main, l’Auror formula Sphaera Ignis en direction des pics qui convergeaient vers lui. Une imposante boule de feu sorti de la pointe de la baguette du sorcier et s’en alla à la rencontre des pics, provoquant une explosion aux couleurs vives. Un problème de régler. Mais le combat ne faisait que commencer. Le nuage sombre qui était sorti de la baguette du mage noir était déjà très proche de l’Auror. Matt connaissait ce sortilège, un de plus apprécié par les masqués justement. Si il restait comme un fruit au milieu du chemin de Traverse entouré par le nuage, il serait rapidement asphyxié. L’Auror recula de plusieurs mètres pour échapper au sortilège même si il se doutait que le nuage le suivrait, commandé par le Mangemort. Le meilleur moyen de stopper le maléfice de la Fumée Étrangleuse était de s’en prendre directement au sorcier le dirigeant. Le sorcier américain formula un Eolo Procella en direction du nuage. Les bourrasques de vent dissipèrent une importante partie du nuage, permettant à l’agent du Ministère de la Magie d’apercevoir son adversaire. Ne laissant pas le temps au nuage de se reformer, il formula instantanément un Terraballi Mortis. Voyons comment le masqué allait réussir à éviter le sortilège de la prison de terre. Après tout, autant qu’il commence à s’habituer à être enfermé. Mangemort 67Mangemort à la retraite Re Dans un coin sombreMangemort 67, le Lun 14 Mai - 1947 Ice&FireLe spectacle que nous avait proposé ce cher sorcier d'élite était des plus magnifiques, il fallait le reconnaître. Le feu et la glace se mariait somptueusement bien de part leur opposition, c'était superbe. Mais pas le temps de s'extasier devant tant de beauté, il fallait continuer de combattre pour que mon cher adversaire se retrouve hors d'état de boule feu s'écrasa plus loin, déjà bien diminuée de part ses rencontres avec les quelques piques de glace. Puis le vent s'éleva, ne me laissant pas croire qu'il était naturel lorsque je vis mon nuage mortel se dissiper petit à petit. S'assurer d'être hors de danger pour ensuite contre-attaquer, une attitude basique de duel qui ne laissait que peu de place à la surprise. Ce qui était bien dommage... Le sol autour de moi se mit à réagir quelque peu, ainsi donc cela viendrait de la terre. Qu'importe ce que c'était, il fallait éviter de rester ici trop longtemps. Le crac caractéristique du transplanage se fit entendre, autant changer de position. Cela me permettrait de le Surprise ! Dis-je lorsque je me retrouvai dans son dos, car c'était bien à cet endroit que j'avais transplané. Gladius Purpura ! Hurlai-je en pointant ma baguette dans la direction de l' forma alors la typique lame meurtrière qui s'élança à toute allure vers mon ennemi. La distance entre nous lui permettrait de s'en tirer probablement mais pas sans séquelle. Puis, une idée afin de le mobiliser Terra soluenta Multiplicare. Quelques mètres plus loin, avant même de savoir si mon sortilège l'avait touché. Ainsi, non seulement il serait projeté vers l'avant mais en plus il tomberait sur des sables mouvants qui se feraient un plaisir de l'accueillir correctement. Ces derniers recouvraient une grande partie de la ruelle menaçant presque les fondations des habitations. Gabin ŠprajcSerdaigle Re Dans un coin sombreGabin Šprajc, le Mar 15 Mai - 1401 La respiration haletante, Matt s'essuya rapidement le front en entendant le grondement de son sortilège sortir de terre. Il espérait que les parois de terre allaient se refermer rapidement pour ne pas laissé le temps au masqué de réagir. Si il réussissait à l’emprisonner maintenant, ça lui faciliterait les choses et il serait à rentrer chez lui pour voir Axelle. Mais comme tous les plans que le sorcier mettait en action, rien ne se passa comme prévu. Le mage noir face à lui, qui semblait pourtant être prit au piège, disparut. Un crac sonore résonna dans la ruelle. L’Auror connaissait que trop bien ce bruit. Un transplanage. Et un transplanage lors d’un duel entre sorcier avait quasiment toujours la même destination. Le dos de l’adversaire. Surprise ! » Matt eut tout juste le temps de se retourner pour voir le masqué, à un mètre de lui, baguette pointé dans sa direction. Une flamme pourpre ayant la forme d’une lame fonça droit sur l’agent d’élite du Ministère de la Magie. Grâce à l’expérience qu’il avait acquis grâce à ses nombreux combats, l’américain eu le reflexe de lancer un Protego. Malheureusement, la distance entre les deux sorciers était des moindres et le sort de protection de l’Auror n’eut pas le temps de se former intégralement. La lame frappa le sortilège de protection mais ce dernier, formulé dans la précipitation, céda. Le sortilège du mage noir, quelques peu amoindrit, frappa le torse de l’Auror qui fut propulsé en arrière. Matt s’attendait à chuter lourdement sur le sol mais contre tout attente, il se retrouva sur une surface sableuse. L’américain comprit le pétrin dans lequel il était. Son corps était aspiré par le sable et ci il restait plus longtemps dedans, il allait se retrouver immobiliser, à la merci du mage noir. Alors que le temps jouait en sa défaveur, l’Auror jeta un regard aux battements autour de lui qui ne se trouvaient pas dans la zone des sables mouvants. Sur un des appartements du Chemin de Traverse, situé au rez-de-chaussée légèrement surélevé d’un ancien bâtiment, le balcon possédait plusieurs jardinières. Alors que les jambes du sorcier étaient enlisées dans les sables, il visa l’une des jardinières et formula un Commutatio Loco. Instantanément, la jardinière se retrouva à la place du sorcier et s’enlisa dans les sables mouvants. L’américain, quant à lui, fût téléporté et tomba sur le balcon. Alors qu’il allait se relever, la vision de l’Auror se brouilla et ses tripes se nouèrent. Une gerbe de sang sorti de sa bouche pour finir son chemin sur les lattes en bois du balcon. Une douleur aigue lui comprimait le torse, la où la lame l’avait frappé. Matt posa sa main gauche sur la localisation d’où provenait la douleur mais ne remarqua aucune blessure particulière. Nouvelle gerbe de sang. Il jura tandis que qu’une voile brumeux s’installa devant ses yeux. La respiration haletante et rauque, le sorcier américain s’interdisait de paniquer malgré l’urgence de la situation. Son ennemi avait du le localiser et n’allait pas tarder à lui tomber dessus. Il faut que je prévienne les autres… » Murmura-t-il pour lui même. Baguette en main, le sorcier américain pointa sa baguette en direction du ciel, se préparant à lancer son patronus chercher des renforts. Il n’avait pas d’autres choix. Mangemort 67Mangemort à la retraite Re Dans un coin sombreMangemort 67, le Sam 19 Mai - 035 Prise de LALa succession peu commune de mes sortilèges semblait fonctionner. Mais c'était sans compter sur l'expérience de mon adversaire. Heureusement que je portais un masque, car l'air dubitatif qui s'était affiché sur mon visage lorsque je vis la jardinière à la place du sorcier n'avait rien de bien crédible. Il est vrai que je n'avais pas envisagé qu'il échange sa place. Légèrement stressé, j'observais les alentours, passant rapidement les habitations en revue, le premier coup d'oeil ne fut pas le bon. J'étais sur mes gardes, car même si j'avais bien vu que mon sortilège l'avait touché, je ne savais pas quels en étaient les dégâts. Attentif à une attaque surprise éventuelle. Un bruit de vomi, du moins quelque chose qui y ressemblait, vint briser le silence d'hiver qui était revenu après les premiers échanges de sortilèges. Un deuxième bruit se fit entendre ce qui m'aidait à préciser l'emplacement de mon adversaire et si ce dernier ne tentait rien, j'avais bon espoir de croire que je l'avais plutôt bien endommagé. Je crois bien que je l'ai trouvé. Il fallait qu'il descende de son perchoir !- Bombarda Ma Lecrépitement du feu, les bruits des grillons, la chaleur des flammes et les bruits diverses d'animaux, tout ce vacarme harmonieux créait une atmosphére radieu

צרפתית ערבית גרמנית אנגלית ספרדית צרפתית עברית איטלקית יפנית הולנדית פולנית פורטוגזית רומנית רוסית שוודית טורקית אוקראינית סינית עברית מילים נרדפות ערבית גרמנית אנגלית ספרדית צרפתית עברית איטלקית יפנית הולנדית פולנית פורטוגזית רומנית רוסית שוודית טורקית אוקראינית סינית אוקראינית דוגמאות אלו עשויות לכלול מילים גסות המבוססות על החיפוש שלך. דוגמאות אלו עשויות לכלול מילים בשפה מדוברת המבוססות על החיפוש שלך. N'entre pas docilement dans cette douce nuit. Disons qu'il n'est pas parti "docile, dans cette douce nuit". Honnêtement, Will, c'est l'une des créatures les plus dociles dans tout l'océan. En dansant autour de toi sens cette douce sensation "לרקוד מסביבך, להרגיש את התחושה המתוקה. לא נמצאו תוצאות עבור משמעות זו. תוצאות 58. מדויק 1. זמן שחלף 129 ms. Documents פתרונות לארגונים הטיות מילים נרדפות בדיקת איות עזרה ומידע אינדקס מילים 1-300, 301-600, 601-900אינדקס ביטויים 1-400, 401-800, 801-1200אינדקס פסוקית 1-400, 401-800, 801-1200

4g7XE. 177 328 482 383 199 74 272 163 96

n entre pas docilement dans cette douce nuit