Faitesl' Voyage pas la guerre, une wabbit de capotes Casino de la rochelle vaut bien Loto 14 septembre cher qu' une bombe. Vous pourrez aussi pourrir sabbit mur; mais faite l amour pas la guerre dofus book il. - QuĂŞtes Wabbit - Blog de Darkvladreturn Moyenne 3. Commentaires 1. Baptiste Lebon dimanche, 11 juin Bonjour une personne sur Brumaire,
La gauche et le “camp du bien” Dans Le nom des gens de Michel Leclerc 2010, comédie française mettant en scène une militante de gauche aux méthodes quelque peu “radicales” issue de la France multiculturelle Sara Forestier et un cadre quadragénaire Jacques Gamblin issu d’une famille culturellement “assimilée” qui a dissimulé ses origines juives en changeant de nom après la déportation de ses grands-parents, les deux personnages ont une discussion à bâtons rompus dans un marché sur les clivages droite-gauche. Lui déclare que, “la réalité est plus complexe. La preuve, des gens de droite peuvent faire des choses très bien et des gens de gauche des saloperies.” Ce à quoi elle répond “Mais non ! La gauche c’est le bien et la droite, c’est tous des fachos. Faut pas transiger là -dessus !” Un humour enjoué et plein d’autodérision pour lutter contre le climat sensible en France et les questions d’identité nationale qui agitaient déjà le pays au moment de la sortie du film. A travers ce dialogue, c’est bien évidemment l’image qu’une partie des gens de gauche se font d’eux-mêmes comme appartenant au “camp du bien” qui est caricaturée. L’idée-clé de la scène est importante souvent, en matière de politique, on place le discours sur le plan des valeurs concepts flous peu discutables par essence de manière constructive, alors que c’est finalement sur le terrain des faits et des mesures concrètes qu’il est plus efficace d’engager un débat. On retrouve également cette dimension dans Le Brio d’Yvan Attal 2018, autre film dont nous discuterons dans les semaines à venir, qui aborde les clivages gauche-droite, les questions d’origines et de classe sociale et la manière de les dépasser. Le tout en prônant un point de vue sans doute plus “bourgeois”, qui réhabilite en partie avec habileté, malgré certaines réserves et facilités, une droite plus complexe que ce que les gens de gauche ou d’extrême gauche peuvent s’en faire, là où Le nom des gens de Michel Leclerc entendait montrer que l’on peut être un humaniste de gauche sans être un bisounours ni un être moralisateur et donc manichéen. La France face aux crises de la 5ème République Dans le reste du film et surtout lors de tout son premier acte, très accrocheur, Michel Leclerc continuera de jouer ouvertement avec les stéréotypes gauche-droite, tandis qu’Yvan Attal interrogera la notion de “politiquement correct”, mais aussi l’image que l’on se fait des gens à partir de la surface des choses et des étiquettes que l’on peut se coller les uns les autres à travers la relation entre un professeur de droit et de droite accusé de racisme et une étudiante d’origine maghrébine qu’il coache pour le concours d’éloquence après un conflit qui les a opposés en public. Dans Le Nom des Gens comme dans Le Brio, d’ailleurs, le contexte est essentiel Le nom des gens s’achève sur l’élection de Nicolas Sarkozy en 2007 et se déroule donc quelques 2 ans après le référendum sur le projet de constitution européenne et l’incompréhension qui en a résulté et 5 ans après le second tour des présidentielles de 2002 – événement qui est longuement commenté dans le film ; Lionel Jospin fait d’ailleurs un caméo dans la séquence précédent celle du marché. Le film interroge donc avec humour, mais de manière ouverte et sincère, des événements qui constituent des moments de crise au sein de la 5ème République. A ce titre, le film est toujours d’actualité et interroge les manières de s’engager à gauche à une époque minée par le manque de confiance croissant envers la classe politique, le vote utile ou stratégique, l’éparpillement de la gauche en général et des questions telles que la sécurité, l’immigration et l’identité nationale, face auxquelles les différents partis ont laissé le champ libre à la droite et l’extrême droite. Le peuple français au-delà des divisions Le film regarde également les paradoxes des “gens” au-delà de leur étendard politique – y compris ceux des gens de gauche, donc – et au-delà des étiquettes ou des cases dans lesquelles on nous met, et replace l’humain au centre pour dépasser les questions de clivage, en mettant en parallèle traumatisme personnel ou familial et traumatisme collectif, national, avec l’espoir que, comme ses personnages, la France pourra trouver le chemin de la résilience. Plutôt que de proposer aux spectateurs un traité sur le sujet, le réalisateur fait le choix de privilégier un angle intimiste en nous racontant l’histoire de Bahia et Arthur et de leurs familles respectives pour nous montrer l’union possible entre une France engagée et multiculturelle pour laquelle il n’y a pas de tabous, où tout se doit d’être exposé au grand jour et dénoncé et l’autre plus sage et traditionnelle, qui a appris par la force des choses à s’adapter et à se fondre dans le moule, à prendre sur soi pour survivre et s’assimiler donc, malgré les blessures. Et quand on parle d’identité et d’assimilation, quoi de plus représentatif que le “nom des gens”, justement ? Plus de 10 ans avant Eric Zemmour en prime time sur CNews et ses remarques sur le prénom que les parents choisissent de donner à leurs enfants, Michel Leclerc ouvre son film sur une présentation de ses deux héros particulièrement percutante. Arthur Martin Lors de la dernière Coupe du Monde de football, dans l’équipe de Corée du Sud, ils étaient 7 joueurs à porter le même nom de famille Kim. C’était tellement compliqué pour les commentateurs qu’ils ont décidé de rajouter les prénoms sur les maillots pour les différencier. Mais il y en avait qui avaient aussi le même prénom. Moi je m’appelle Arthur Martin. Nous sommes 15 207 en France à porter le même nom et j’ai toujours eu l’impression de faire partie de l’équipe de Corée du Sud. Bahia Benmahmoud Je m’appelle Bahia Benmahmoud et je suis la seule en France à porter ce nom-là . “Faites l’amour, pas la guerre” ou comment retourner habilement un cliché Le ton est donné et, à partir de là , Michel Leclerc déconstruira couche par couche les apparences parfois trompeuses à partir desquelles on se juge pour aller “sous le rose” comme dirait Tori Amos, sous l’épiderme, là où les mots sont superflus pour exprimer des douleurs muettes mais palpables. Mais le sont-ils vraiment ? Dire, est-ce soulager les maux personnels comme collectifs ou bien les raviver ? La solution ne résiderait-elle pas dans les rapports humains sous toutes leurs formes ? Et comme on dit qu’aux grands maux les grands remèdes, dans Le Nom des Gens, Bahia applique le “faites l’amour, pas la guerre” au pied de la lettre envers ses opposants politiques… ce qui est aussi, bien évidemment, un pied de nez aux personnes souvent de droite, qui estiment que ce sentimentalisme restant de la révolution sexuelle est naïf et ridicule le pouvoir des fleurs ?. D’ailleurs, la militante antifa qui couche sans retenue, y compris avec “l’ennemi”, est bien entendu un cliché en lui-même, que le film de Michel Leclerc retourne habilement comme un gant. Car l’on apprend très vite par le biais d’un flashback commenté par Bahia elle-même qu’elle a été victime de violences sexuelles enfant par un professeur de piano, ce qui a eu des conséquences directes sur sa sexualité. Bahia Benmahmoud J’ai pas connu la guerre, j’ai pas connu le racisme, mais je vais connaître les cours de piano avec M. Boyer. En fait, on fait très peu de piano pendant les cours de M. Boyer… Pendant deux ans, ma vie devient palpitante, parce-que je dois rien dire à mes parents. Quand je leur avoue enfin la vérité, mon père décide de tuer lui-même M. Boyer car il n’a pas confiance dans la police. M. Boyer déménage le jour-même sans laisser d’adresse. … Au collège, je refuse de sortir avec des garçons car j’ai peur qu’ils découvrent que j’ai un problème avec le sexe. Au lycée, je couche avec tous les garçons car j’ai peur qu’ils découvrent que j’ai un problème avec le sexe. Reporter TV que regarde Bahia adulte Il faut savoir qu’énormément d’enfants victimes de violences sexuelles reproduisent ce qu’ils ont vécu étant adultes. Et de même, parmi les prostituées, on en retrouve beaucoup ayant subi ce genre de sévices durant leur enfance. Bahia face caméra Du coup, pour mon avenir professionnel, on me laisse le choix entre deux orientations possibles pédophile ou pute. Je choisis pute. Au-delà de l’humour noir, cette dernière réplique a de l’importance quand on sait que le viol est une arme de guerre lors de conflits armés. En ce sens, en tant qu’ancienne victime de viol, on peut dire que Bahia utilise avec un certain à propos le sexe comme arme dans son combat idéologique, en le retournant contre ses ennemis – mais dépourvu de la haine et du pouvoir destructeur qui est le propre des agresseurs et violeurs. En anglais, on utilise parfois de manière un peu poétique le terme outlove, qui n’a pas d’équivalent en français et signifie littéralement “détruire/défaire par l’amour”. Cette vision est en fin de compte assez représentative de l’approche de Bahia, qui se sert de son corps pour tenter de ramener dans “le droit chemin” la gauche, forcément ! les hommes souscrivant aux idées de tout le reste du spectre politique, des centristes oui, oui ! aux militants d’extrême droite. En raison de son traumatisme, elle est capable de s’accrocher à ce qu’il y a de lumineux et enfantin en eux pour leur faire voir l’amour qui existe dans le monde plutôt que sa brutalité. Cela est assez flagrant avec le jeune militant FN, qu’elle considère au départ comme étant “un gros con”, et qui finira gentil et doux un tempérament que l’on sentait déjà lorsqu’il tenait un discours raciste et surtout tolérant – et ce même si ce personnage très secondaire est en réalité peu développé, le film se concentrant surtout sur l’histoire entre Bahia et Arthur. Bien sûr, se faisant, c’est aussi elle que Bahia tente de guérir, la partie en elle qui a été blessée et mutilée dans son enfance, et qu’elle contrebalance par un trop-plein de naïveté, y compris dans sa vision de la politique et du militantisme, là où Arthur Martin semble de prime abord plus mesuré et “réaliste”, car il a surtout peur d’être déçu en attendant un changement qui ne surviendra peut-être jamais. Non-dits et inconscient familial et collectif Bahia et Arthur sont en réalité, chacun à leur manière, par leur attitude, dans une forme de déni qui les protège. La première se protège de la réalité, à la fois par sa foi démesurée en l’humanité et ses points de vue politiques un peu simplistes qui la conduisent à penser que tous ceux qui sont différents d’elle ont un fond facho et que la gauche et une certaine vision du “vivre ensemble” constituent un rempart contre la violence et le chaos du monde. Le second est au fond un rêveur, qui se protège de la déception en gardant des espoirs somme toute “mesurés”, en ne débordant jamais trop émotionnellement, en suivant de manière somme toute plus poétique et décalée, comme le montre l’extrait de dialogue ci-dessous, la route tracée par ses parents, que la force du non-dit rend indisposés à la moindre discussion un peu sérieuse ou frontale. Dans la cour d’école au collège, des élèves sont réunis devant une plaque commémorative. Professeur Donc, pour poursuivre notre cours sur la déportation, nous allons parler aujourd’hui… Arthur Martin Un jour, ils mettent une plaque en hommage aux enfants morts dans les camps qui avaient vaguement passé une année dans mon collège. Or, la déportation des juifs, c’est mon petit trésor caché et j’aime pas trop qu’on me fasse de la concurrence là -dessus. Professeur Alors, à votre avis, qu’est-ce qu’on appelle le devoir de mémoire ? Elève Ca veut dire qu’il faut se souvenir de ceux qui sont morts pendant la guerre. Prof Et pour quelle raison ? Elève 2 Parce-que c’est des enfants innocents qui ont été assassinés et c’est trop triste si on les oublie. Elève 1 Et c’est pour ça qu’on met les plaques. Arthur ado Mais pourquoi ne se souvenir que de leur mort ? … Bah, je sais pas, si j’imagine que j’ai été assassiné et que tous les jours je passe devant ce truc qui me rappelle à quel point c’était horrible d’être assassiné, je ne suis pas sûr que ce soit très sympas… Je pense qu’on ferait mieux de se souvenir du jour où ils ont mangé de la crème Chantilly pour la première fois, par exemple. On marquerait sur cette plaque “Dans cette école, des enfants ont mangé de la crème Chantilly pour la première fois”, ce serait plus sympas, je trouve. Prof Vous vous croyez malin, Martin ? Donc non, je ne vous ai pas emmenés ici pour vous parler de crème Chantilly, mais de déportation. Le nom des gens met ainsi l’accent sur le déni et les traumatismes individuels et collectifs qui font des gens ce qu’ils sont. Le film montre comment un traumatisme familial peut venir percuter l’inconscient collectif de l’époque, toujours à travers les parcours parallèles des familles de Bahia et Arthur. Pour les Martin, c’est à la fin des années 70 lors du procès de Klaus Barbie que le tabou familial se renforce et impacte le jeune Arthur, tandis que pour Bahia, c’est l’affaire Marc Dutroux dans les années 90. Pour la protéger, ses parents, soucieux qu’elle aille de l’avant, éteignent le poste sans commentaires, mais en affichant un malaise évident. Arthur Martin Mes parents sont des champions toutes catégories du tabou. Par exemple, ils sont très puritains. … Ceci dit, sur le podium des tabous familiaux, la déportation de mes grands-parents arrive loin loin devant tous les autres. En 47 ans de vie, je n’ai réussi à obtenir par la ruse que 2 informations les concernant ils venaient de Grèce et mon grand-père était chauffeur de taxi à Paris. Pour le reste, silence total. Mais à la fin des années 70, ça devient un gros problème pour éviter le sujet, car le tabou familial rencontre l’obsession nationale. La France expie le crime toute la journée et chez nous, c’est une gymnastique invraisemblable pour qu’on ne s’aperçoive de rien. France multiculturelle, France assimilée et angles morts Mais le film va plus loin que ce simple constat, et montre que certains inconscients individuels peuvent se percuter, et pas forcément uniquement pour le pire la scène où Bahia embrasse Arthur au parc montre leurs enfants intérieurs en parallèle des adultes qu’ils sont pour mettre en avant tout ce qui les rapproche et les attire à leur insu, qu’ils sentent mais sur lequel aucun d’eux ne met encore de mots. Avant cette scène, lorsque Bahia et Arthur sortent du mariage blanc de la jeune femme avec un immigré et que la jeune femme lui parle de ce qu’a vécu son père avant d’obtenir la nationalité française, en reprochant à Arthur son manque de réaction et de compréhension sous prétexte qu’il s’appelle Martin et est donc né Français, un Arthur passablement éméché sort de sa réserve habituelle et se met à déclamer “Ah, le discours victimaire, là ! On est issus d’un peuple qui a beaucoup souffert ! […] Les enfants de victimes, je trouve qu’ils la ramènent un peu trop. Mes aïeux étaient des esclaves, les miens ont été colonisés, les miens-ci, les miens ça. On entend plus qu’eux !” La version d’Arthur adolescent apparaît à ses côtés juste après cette diatribe déclamée avec une assurance toute relative. Lorsqu’ils ont cette discussion, Bahia ignore encore l’histoire d’Arthur, dont les parents, à l’image des millions de Français issus de l’immigration italienne, par exemple ou encore de ces Français que l’on a appelés “pieds noirs” terme qu’eux-mêmes se sont par la suite approprié, ont dû s’assimiler et prendre sur eux sans la ramener, à l’inverse du discours ouvertement critique et engagé de Bahia contre le racisme et les préjugés à l’égard des minorités. Leur couple est ainsi en partie représentatif de ce que l’on peut observer en France bien que le film laisse de côté certains cas de figures, sans doute un peu trop délicats à traiter – nous y reviendrons une France mixte qui assume son héritage multiculturel et une France qui a dû s’assimiler, quitte à oublier ou nier ses origines, l’une étant parfois en lutte contre l’autre. Pour Arthur Martin et ses parents, la question de l’assimilation est en apparence naturelle et ne se pose même pas. Le traumatisme a été tu car ils n’ont pas vraiment eu le choix. Bien qu’Arthur soit de gauche et un admirateur avoué de Lionel Jospin, son apparente tiédeur, sa retenue, ses réactions à froid, sont révélatrices des points aveugles qui sont l’héritage de son histoire familiale. Bahia, elle, en tant qu’enfant d’un père immigré et d’une mère française, n’a aucune gêne à parler de sa douloureuse histoire familiale mais aussi, à travers elle, de certaines parties douloureuses de l’histoire de France. Loin de donner des réponses faciles à ce propos, le film montre avant tout à travers ces deux parcours personnels qui se rencontrent les raisons de cette division et des problèmes qui agitent la France au-delà des affrontements gauche-droite et des débats stériles où chaque “camp” s’affronte en maniant les accusations et les clichés contre l’autre, les extrêmes se renforçant ainsi mutuellement. Une très belle scène en milieu de métrage est représentative de cet état de fait et de la manière de la dépasser du moins sur le plan des relations humaines la scène du dîner entre les deux familles qui vont s’engueuler autour de la politique en raison de leurs histoires familiales respectives avant de faire la paix autour d’une activité tirant partie de leurs points communs et passions dans le cas présent, le bricolage plutôt que de leurs différences et blessures. All You Need Is Love ? Une autre très belle scène, représentative de ce double niveau entre intime et politique dans la lignée du célèbre “l’intime est politique” et du débat entre parler ou se taire, révéler ou cacher, est la scène du rhabillage de Bahia, distraite au point de sortir entièrement nue de chez elle pour faire ses courses sans s’en rendre compte. Après l’avoir croisée au supermarché et ramenée chez lui, Arthur lui remet délicatement des sous-vêtements et une tenue. Une séquence filmée comme une scène d’amour aussi douce qu’érotique et qui symbolise parfaitement la dynamique qui s’est installée entre eux. Chez Bahia, rien n’est caché, tout déborde littéralement de tous les sens et de toutes ses tuniques, dans les paroles comme au niveau du corps. Arthur lui apporte de la pudeur ou plutôt l’autorise à retrouver de la pudeur en refusant de profiter de sa bonne fortune – une femme directement à poil au milieu de son salon. Car, au final, entre Bahia qui n’a jamais appris à se protéger si ce n’est en exposant tout, tout le temps et Arthur qui se protège trop, il y a une alchimie et un équilibre où, réunies, leurs faiblesses s’annulent et deviennent une force. Il n’est donc pas étonnant que ces plans de rhabillage soient finalement muets. C’est dans cet équilibre délicat que Bahia et Arthur se trouvent et que la jeune femme s’engage dans leur relation au-delà de la simple “thérapie de conversion”, si l’on peut dire. Mais les mots sont traîtres et ce sont eux qui, à la fin du 2ème acte, les séparent momentanément, lorsque la mère d’Arthur, entrée en état de choc après que Bahia ait mis des mots sur le traumatisme familial, décède. Sous le coup de la tristesse et de la colère, Arthur blesse Bahia en la chassant de sa vie… ce qu’il regrette vite, mais trop tard. Ce qui était alors optimisme, lumière et élan de vie chez la jeune femme se retrouve momentanément absorbé lorsqu’elle décide de courir après un objectif impossible séduire et convertir un islamiste radical un dingue, donc, ce qu’elle ne parviendra évidemment pas à faire. C’est cette fois-ci une pulsion mortifère qui la pousse mais différente des gens qui se radicalisent, là encore, cette part d’elle blessée, la victime qu’elle a voulu oublier qui reprend le dessus. “Avec ce voile, les regards des fachos, je les sens enfin sur moi”, dit-elle à Arthur lorsqu’il la retrouve. Une réplique en écho à l’après-11 septembre bien sûr et au climat qui en a résulté, poussant certains musulmans y compris de jeunes musulmans à afficher plus ouvertement leur religion, mais qui montre aussi comment, après avoir trop souffert de manière viscérale, on préfère parfois s’anesthésier pour ne plus sentir sa souffrance. Elle parviendra bien heureusement à se sortir de cette situation, mais le film porte à travers son héroïne un espoir, qui est que tant qu’il y a de l’humanité et de la compassion, les gens peuvent changer, aller au-delà des différences et changer le monde même si, bien sûr, c’est toujours “plus compliqué que ça”. Bien sûr, Le Nom des Gens n’est pas exempt de défauts. Dans la lignée de son approche ouvertement laïque et optimiste, le film oppose les musulmans laïcs qui boivent du vin et peuvent se marier avec une personne d’une origine différente de la leur aux musulmans radicalisés, tandis que les musulmans pratiquants ordinaires pourtant majoritaires sont laissés de côté… Une facilité qu’il est assez difficile d’ignorer aujourd’hui si l’on veut analyser le film d’un point de vue fondamental. Michel Leclerc ne partagerait-il pas en partie la naïveté de Bahia ? Les gens qui doutent  Pourtant, s’il épouse et partage en partie la naïveté quasi-enfantine de Bahia et son ingénuité même si celles-ci sont contrebalancées par le regard d’Arthur, personnage qui a du mal à sortir de lui-même, mais sait être percutant, le film de Michel Leclerc s’avère beaucoup plus subtil et douloureux dans le fond, dans ces histoires et ces non-dits qui s’entrechoquent… mais qui permettent aussi aux gens de dépasser leurs blessures s’ils parviennent à accepter à la fois leur part de vulnérabilité sans pour autant se mettre d’œillères sur le monde qui nous entoure. Car Michel Leclerc croit en l’humanité, mais n’est pas dupe ni de la classe politique, ni de ses propres idéaux et se sert de la tendresse envers ses personnages et de l’humour et l’autodérision comme de la meilleure arme qui soit pour avancer. Son Nom des Gens prône le partage de valeurs communes, sans nier la complexité de l’histoire de France et du terreau multiculturel qui font à la fois sa richesse, mais aussi la difficulté du climat pour le moins explosif de ces 20 dernières années. Comme le chante Anne Sylvestre, il aime visiblement “les gens qui doutent”, même quand ils feignent d’avoir raison. Après tout, pour convaincre en politique, il faut de la conviction. De cette conviction d’où peut émerger une vision commune. Et pour Michel Leclerc, il est clair que cette vision ne peut que se baser sur l’union et non la division qui renforce la violence et le chaos. Le Nom des Gens reconnaît le pouvoir à double tranchant des mots les mots qui sauvent, qui redonnent de la dignité, mais aussi les mots qui peuvent blesser et engourdir, séparer. Il apparaît ainsi complémentaire au Brio, qui, en dépit de quelques maladresses, avertit en creux in fine sur le danger que constitue un mauvais usage du discours rhétorique, qui peut être utilisé pour manipuler les autres comme pour défendre ses convictions profondes. This is the End of the World As We Know It? Comme le faisait dire Godard à ses personnages dans Vivre sa vie 1962, les mots peuvent nous trahir et nous mettre à nu… mais nous les trahissons aussi trop souvent. Quitte à trahir nos propres idéaux ? Face à ce risque, quand on en a trop vu et entendu, l'”aveuglement” de Bahia ne constitue-t-il pas une solution somme toute recommandable ? Faire silence l’espace d’un instant pour vraiment nous comprendre, nous voir et aller au-delà des apparences et des différences au milieu du chaos ambiant, mettre fin à l’envoûtement auxquels nous sommes trop souvent soumis plutôt que de reprendre du popcorn ou une pilule rouge ou bleue ? pour regarder le monde s’écrouler autour de nous ? La fin du film britannique Perfect Sense de David Mackenzie 2011 nous revient alors en tête. Dans ce film où le monde est brutalement frappé par un mystérieux virus qui prive les gens de leurs sens un à un, les personnages incarnés par Eva Green une scientifique et Ewan McGregor un cuisinier, après avoir cédé à l’anesthésie émotionnelle puis à une rage incontrôlée, se retrouvent enfin au détour d’une rue déserte et s’avancent l’un vers l’autre pour se prendre dans les bras – une image que nous ne verrons jamais puisque le plan vire au noir pour nous signifier que le monde vient de perdre littéralement la vue. Dans le silence et l’obscurité qui suivent, la voix d’Eva Green résonne “Tout est noir maintenant, mais ils sentent leur souffle et ils savent tout ce qu’ils ont besoin de savoir. Ils s’embrassent et ils sentent leurs larmes couler sur leurs joues. Et s’il restait qui que ce soit pour les voir, ils auraient l’air d’amoureux ordinaires en train de se caresser, leurs visages tout près l’un de l’autre, les yeux clos, oublieux du monde qui les entoure. Parce-que c’est ainsi que la vie continue”. A la réplique finale de Morgan Freeman à la toute fin de Seven “Ernest Hemingway a un jour écrit “Le monde est un bel endroit qui mérite que l’on se batte pour lui. Je suis d’accord avec la dernière partie de la phrase.”, Michel Leclerc oppose en substance un “Les gens sont beaux et méritent que l’on croit en eux”, comme une prière adressée aux politiciens d’arrêter de prendre les Français pour des cons et au peuple d’aller au-delà des différences et incompréhensions qui le déchirent. Qui n’aurait pas envie de le rejoindre ?
Critique/ « Faites l’amour, pas la guerre » (2018) de Petra Lüschow. Diffusé le vendredi 5 mars 2021 sur ARTE, Faites l’amour, pas la guerre (Petting statt Pershing) est un long métrage allemand de Petra Lüschow sur le passage à l’âge adulte avec Anna Florkowski, Florian Stetter, Christina Große et Hermann Beyer.
ForumsMMODark Age of CamelotLe panthéon des bravesCamlannfaites l'amour pas la guerre peace&love camlan 23/07/2005, 12h08 Publié par Gomez' peace&love camlan l'intérêt du post ? 26/07/2005, 21h23 Publié par Train l'intérêt du post ? cherche pas, y'en a pas 26/07/2005, 22h30 Publié par Train l'intérêt du post ? L'utopie ? 26/07/2005, 23h20 Publié par Zhor L'utopie ? ahah +1 - au fait, je crois que je suis bloqué au rang de Baron, car ca fait un bon moment que je stagne s 27/07/2005, 01h20 Message supprimé par son auteur. 27/07/2005, 09h57 ah bon vous avez résisté ? 27/07/2005, 10h02 Message supprimé par son auteur. 27/07/2005, 10h05 non je parle du fait que cette soit disant alliance a résiste au req moi j aurais plutôt dit se faire marcher dessus en continu 27/07/2005, 10h08 Publié par LaVerole non je parle du fait que cette soit disant alliance a résiste au req moi j aurais plutôt dit se faire marcher dessus en continu Sans etre pro-requiem ... j'ai aussi beaucoup de mal a voir cette pseudo resistance.... vous avez aussi resisté au InM ??? 27/07/2005, 10h37 Les req, c'est le mal 27/07/2005, 15h25 me souviendrais toujours du jour ou j'ai up 50 avec ma bd , mon premier 50 sur camlann oui je sais c'est mal , mais bon, je faisait que reroll et j'ai accrocher a celui la et que quand je suis aller au tp mid d'emain, pour aller me train, sorceress a pop avec d'autres requiem, et ma 2 shoot sans style, ca a casser l'ambiance 27/07/2005, 15h32 Publié par Mery Les req, c'est le mal Ouai mais en mm temps sa ferai pas de mal d'avoir une tite piqûre de rappelle là quand mm 27/07/2005, 19h54 Message supprimé par son auteur. 27/07/2005, 22h04 Je note. 27/07/2005, 22h06 Message supprimé par son auteur. 27/07/2005, 22h19 En effet. 28/07/2005, 00h22 Publié par Ayuro Ouai mais en mm temps sa ferai pas de mal d'avoir une tite piqûre de rappelle là quand mm Bof ca se pownait quand meme bien le Req sur Hib meme avec 6 RK 28/07/2005, 01h03 C'est ça le problème des Odins ^^ 28/07/2005, 01h11 Publié par Ayuro C'est ça le problème des Odins ^^ Odin c'est le truc qui campe Goth/Aegir avec des classes noskill a la mode ? 28/07/2005, 01h16 Publié par Prootch bah... je mesure toujours l'aune d'une situation au degré d'aggressivité de ceux qui la subissent et donc... Les actes de résistances - en ce qui me concerne - consistaient surtout à participer aux rassemblement de trois ou quatre gu pour release les rks. Ah c'est ca la resistance dont tu parles votre petite gueguerre contre les gardes de DC quand on dormait ? 28/07/2005, 01h55 Publié par dervic Odin c'est le truc qui campe Goth/Aegir avec des classes noskill a la mode ? Nan, la définition d'Odins a changé maintenant, ils joue en fg avec 3-4 BB en auto clic heal de grp/spread. Mais il ni a plus de WL ^^ 28/07/2005, 06h15 Publié par Train je crois que je suis bloqué au rang de Baron, car ca fait un bon moment que je stagne s C'est vraiment ballot. 28/07/2005, 06h23 Publié par LaVerole Ah c'est ca la resistance dont tu parles votre petite gueguerre contre les gardes de DC quand on dormait ? Rappel moi pourquoi Requiem a cesser d'exister ? 28/07/2005, 07h11 ForumsMMODark Age of CamelotLe panthéon des bravesCamlannfaites l'amour pas la guerre
Faitesl'amour pas la guerre. 87 likes. Faite l'amour pas la guerre, c'est mon slogan
p Bof Publié le 27/02/2021 Les fictions allemandes qui ne se déroulent ni lors de la Seconde Guerre mondiale, ni lors de la chute du Mur sont assez rares pour être signalées. C’est le cas de ce récit d’apprentissage qui évoque, en 1983, les derniers feux du mouvement hippie. Paradoxalement, les répliques de cette contre-culture se font désormais ressentir jusque dans les provinces les plus conservatrices de la RFA. Là , Ursula, 17 ans, croit trouver le prince charmant en la personne de son nouveau prof de biologie, pacifiste, antinucléaire et surtout charismatique. Ce séducteur désinvolte libère sexuellement tout le village, sauf Ursula, qui a pourtant adopté le progressisme dans l’espoir de perdre sa virginité. Heureusement, sa revanche s’inspirera des Monty Python, plutôt que de la Fraction Armée rouge. Paiement sécurisé Sans engagement Désabonnement simple Déjà abonné ? Je me connecte Découvrir toutes nos offres Synopsis Allemagne de l'Ouest, 1983. Ursula, 17 ans, vit à la campagne auprès de parents conservateurs, qui la destinent à l'école ménagère. Elle s'y oppose catégoriquement, aspirant surtout à perdre sa virginité. Pour ce faire, elle jette son dévolu sur l'un de ses professeurs, le charismatique Siegfried Grimm, écolo, pacifiste et adepte avant l'heure du "polyamour". Mais Grimm semble intéressé par tout le monde sauf par Ursula. Quand, entre autres conquêtes, il séduit une personne très proche d'Ursula, celle-ci décide de se venger. Les films du même genre q Bien Le grand restaurant Jacques Besnard q Bien SuperGrave Greg Mottola p Bof Palais Royal ! Valérie Lemercier o Hélas Les méchants Mouloud Achour q Bien Sur la piste du Marsupilami Alain Chabat Voir les films Résumé du casting Réalisateur Lüschow Petra Acteurs Florkowski Anna Stetter Florian Christina Große Thorsten Merten Beyer Hermann Menzel Leander Ackermann Heide Maria Anna Bohn Katalyn Oskar Bökelmann Dorn Sebastian Ferrari Paulina S. Anja Markus Gläser Britta Hammelstein Kalisch Enno Kaminski Bettina Mania Florian Zoe Moore Barbara Philipp Schmietendorf Inka Thalmann Nils Ullrich Leon Winker Justus Petra Zieser Ursula Mayer Siegfried Grimm Inge Mayer Helmut Mayer Wilhelm Mayer Justus Mayer Erna Teichert madame Scheitel la joggeuse Ralf le journaliste Jutta l'autre Sabine Olaf Erdmut Knud Melzer Depri Isabell Karin Teichert madame Fricke Kai Hans-Erich Monika Regarder Pour soutenir le travail de toute une rédaction, abonnez-vous Pourquoi voyez-vous ce message ? Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de "cookies" sur votre navigateur, qui permettent notamment d'afficher de la publicité personnalisée. Nous respectons votre choix, et nous y veillerons. Chaque jour, la rédaction et l'ensemble des métiers de Télérama se mobilisent pour vous proposer sur notre site une offre critique complète, un suivi de l'actualité culturelle, des enquêtes, des entretiens, des reportages, des vidéos, des services, des évènements... Qualité, fiabilité et indépendance en sont les maîtres mots. Pour ce faire, le soutien et la fidélité de nos abonnés est essentiel. Nous vous invitons à rejoindre à votre tour cette communauté en vous abonnant à Télérama. Merci, et à bientôt. S’abonner
franchementen dix ans de mmo j'ai jamais vu une boîte être aussi ridicule, aussi pitoyable essayer de s'expliquer de cette façon, comme des gamins de dix ans, pour ne pas dire mot pour mot qu
28 Octobre 2011 , Rédigé par mmorpg-astuce Publié dans Métier Et voici l’un des métiers les plus nobles de Dofus, celui qui est au cœur d’une course épique à chaque début de serveur, j’ai nommé le tailleur. Difficile à monter, ses ressources ne se récoltant pas en masse mais devant être droppées, sa maîtrise, alliée à la costumagie, génère d’importants bénéfices, pour rentabiliser les investissements effectués en le montant. On retrouve donc quelques recettes récurrentes, qui permettent de ne pas trop dépenser, aux ressources plus faciles d’accès. Notez qu'il est également possible de monter un peu moins vite mais en rentabilisant directement, en choisissant des recettes qui apportent des runes se vendant bien. Niveau 1 à 20 - Chapeau/cape de piou 1 x graine de sésame, 1 x plume de piou - Petit sac en laine de boufton 10 x laine de boufton blanc, 10 x laine de boufton noir - Cape du champ champ 8 x graine de Pavot + 5 x épine du Champ Champ pour les runes Sa et Cri. Niveau 20 à 60 - Chapeau de l’aventurier 3 x casque, 4 x chapeau du piou rose. Cette recette n’est pas pour gagner de l’expérience mais pour vendre, ces chapeaux partent généralement bien, surtout en début de serveur. - Petite cape bleutée 10 x laine de boufton blanc, 2 x peau de larve bleue, 1 x poudre de perlinpainpain. Niveau 60 à 70 - Cape de bouftou 1 x langue de chef de guerre bouftou, 30 x laine de boufton noir, 10 x laine du chef de guerre bouftou, 30 x laine de boufton blanc, 80 x laine de bouftou. Elles se vendent généralement bien à Astrub, enfin cela dépend de l’ancienneté du serveur. - Cape du mulou fou 1 x queue du mulou, 1 x canine du mulou, 1 x griffe du mulou, 10 x poils du mulou, 1 x teinture magique sombre si des amis ou vous-même aimez parcourir le donjon des canidés ou les bois de Litneg régulièrement. Niveau 70 à 100 C'est l'heure d'aller ratisser Pandala. - Cape du kitsou 1 x poil de kitsou nakwa, 1 x poil de kitsou nae, 1 x poil de kitsou nere, 1 x peau de kitsou nakwa, 1 x peau de kitsou nae, 1 x peau de kitsou nere. Notez que les runes Vi de toutes sortes se vendent très bien, donc brisez-les. Cela vous donnera un fond pour continuer. - Coiffe du kitsou 1 x poil de kitsou nae + 1 x poil de kitsou nufeu + 1 x poil de kitsou nere + 1 x poil de kitsou nakwa + 1 x peau de kitsou nae + 1 x peau de kitsou nakwa. Essayez de dépasser les 109 vitalité fm si possible pour obtenir au moins une Ra Vi. La règle la plus importante est de ne jamais se décourager, vous n’êtes pas obligé de monter en une semaine. Prenez le temps de gagner des kamas à côté, faites autre chose, le but de Dofus n’est pas de s’abrutir avec une action en boucle Les clients sont également d'une grande aide. Partager cet article dofus,dofus book,dofus tools,dofus abonnement, dofus page perso, dofus forum, dofus serveur privé, dofus arena, dofus cawotte, dofus beta, dofus book, dofus tools, dofus abonnement, dofus page perso, dofus forum, dofus serveur privé, dofus cawotte, dofus arena, dofus beta, dofus almanax, dofus abonnement, dofus arena, dofus almanax, dofus avatar, dofus astuce kamas, dofus alchimiste, dofus android, dofus a la recherche des enus disparus, dofus astuce, dofus art gastronomique, dofus book, dofus beta, dofus buy, dofus bot, dofus bucheron, dofus beta test, dofus blog, dofus beta telecharger, dofus barbok, dofus bestiaire, dofus cawotte, dofus cawotte dofus compagnon, dofus calendrier, dofus changer de couleur, dofus chasseur, dofus calendrier 2014, dofus classe, dofus code, dofus changer de serveur, dofus des glaces, dofus dragodinde, dofus donjon, dofus dramak, dofus devblog, dofus donjon koulosse, dofus dimension obscure, dofus dragon cochon, dofus dark vlad, dofus donjon ombre, dofus emeraude, dofus elevage, dofus ecaflip, dofus emote, dofus ebene, dofus equipement, dofus exodia, dofus eniripsa, dofus everhate, dofus enutrof, dofus forum, dofus familier, dofus forgemagie, dofus feca, dofus foreuse, dofus forum, jol, dofus faites l\'amour pas la guerre, dofus fight club, dofus filet de capture, dofus frigost, dofus grand bazar, dofus gestion de compte, dofus gratuit, dofus guilde, dofus guide, dofus grolloum, dofus gourlo le terrible, dofus gadoo, dofus golds, dofus grade, dofus hack, dofus hell mina, dofus hurledent, dofus huile de sésame, dofus humility, dofus hack compte, dofus hotel de glace, dofus hyperscampe, dofus hack lvl, dofus heroique, dofus iop, dofus ivoire, dofus inscription, dofus il faut que cha brille, dofus ile de moon, dofus il y a un os de wabbit, dofus incarnation, dofus ile wabbit, dofus iop terre, dofus iop feu, dofus jol, dofus jeton, dofus jamais deux sans trois, dofus jol forum, dofus jeton tofu, dofus jeu de lowa, dofus joaillomage, dofus jvc, dofus jeux, dofus jeu, dofus kamas, dofus kaliptus, dofus kimbo, dofus krosmaster, dofus kanigroula, dofus kolizeum, dofus kolosso, dofus kamas generateur, dofus krosmoglob, dofus kralab rah, dofus ladder, dofus loterie, dofus l\'armée des ombres, dofus les, dofus, dofus la belle ermite, dofus la complainte du chacha, dofus l\'oeuf ou la cawotte, dofus la magicienne des marécages, dofus les compagnons, dofus le mal a dit, dofus map, dofus maj dofus multiman, dofus mag, dofus metier, dofus mineur, dofus mimibiote, dofus moon, dofus market, dofus mac, dofus naissance d\'une vocation, dofus nouvelle classe, dofus nileza, dofus nowel, dofus book, dofus nouvelle classe 2014, dofus nelween, dofus nouveau serveur, dofus nomoon, dofus nouveau serveur 2014, dofus ocre, dofus ogrine, dofus ornement, dofus otomai, dofus ombre, dofus obsidiantre, dofus book, dofus ornement justicier, dofus ou wakfu, dofus ou xp, dofus page perso, dofus panoplie, dofus personnage, dofus pocket, dofus pourpre, dofus paysan, dofus pecheur, dofus pépite, dofus parchotage, dofus puissance, dofus quete, dofus emeraude, dofus quete, dofus quete otomai, dofus quete l\'armée des ombres, dofus quete, dofus cawotte, dofus quete ocre, dofus quete frigost, dofus quete malediction, dofus quete astrub, dofus quete wabbit, dofus restat otomai, dofus restat, dofus rose obscure, dofus roublard, dofus recette secrete, dofus rasboul, dofus riz, dofus rat noir, dofus recette casque, dofus roissingue, dofus serveur privé, dofus serveur privé dofus support, dofus sort cawotte, dofus sur tablette, dofus sacrieur, dofus sram, dofus steamer, dofus serveur heroique, dofus serveur, dofus tools, dofus tools avatar, dofus tools map, dofus telecharger, dofus turquoise, dofus tableau xp, dofus tailleur, dofus trophée, dofus twitter, dofus team, dofus un peu de tonus, dofus un autre moyen de transport, dofus un ami qui ne vous veut pas que du bien, dofus ubuntu, dofus une blague vaseuse, dofus un troc au poil, dofus ultime réminiscence, dofus une drogue, dofus un peu de wab, dofus un disciple modèle, dofus vulbis, dofus vol age, dofus video, dofus voyage au centre du wabbit, dofus visite médicale, dofus viti glourson, dofus vert emeraude, dofus vs wakfu, dofus vulbis quete, dofus voile d\'encre, dofus wiki, dofus wikipedia, dofus wabbit gm, dofus wa wobot, dofus wabbit, dofus world, dofus windows 8, dofus wa wabbit, dofus wikia, dofus wakfu, dofus xp, dofus xelor, dofus xp solo, dofus xelor feu, dofus xp tailleur, dofus xp bucheron, dofus xp bijoutier, dofus xp lvl 40, dofus xp paysan, dofus x, dofus youtube, dofus yech\'ti, dofus yugonnet, dofus youyettes, dofus iop, dofus yova etna, dofus tools, dofus yoy, dofus yaoi, dofus y\'a quoi dedans, dofus zobal, dofus zobal terre, dofus zone prison, dofus zone xp, dofus zatoishwan, dofus zobal air, dofus zilla, dofus zobal eau, dofus zoth, dofus zone bucheron
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